La belle Vie
« C’est, à cette heure, mon livre le plus léger », confessait Frédéric Bézian. Au premier regard, on serait en droit de le croire tant l’album paraît se situer en marge de la production habituelle de l’auteur, le plus souvent nimbée de fantastique, d'une froide maîtrise technique ainsi que d'une vision peu amène des relations humaines (Les garde-fous, Ne touchez à rien...). S’inspirant des Carnets de Joann Sfar ou des Petits riens […]