A comme Eiffel - M. Trystram/X. Coste - Casterman

[Nirm]

Gros One-Shot (128 pages, 21€) de Martin Trystram et Xavier Coste sur la vie de l'architecte à paraître chez Casterman le 20/03.

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Que cache la vie publique étonnamment lisse de Gustave Eiffel ?
Nous connaissons ses grands travaux (sa Tour, la structure de la statue de la Liberté, le canal de Panama...), mais l’homme beaucoup moins...
Ingénieur paradoxal (il pratique le magnétisme, fréquente Victor Hugo et la franc-maçonnerie), Eiffel entretient un rapport particulier avec les femmes de sa vie : sa mère, sa fille, sa femme
et surtout sa cousine Alice avec qui il vécut une relation cachée pendant de très nombreuses années. Alice, la muse qui inspira peut-être par son initiale la fameuse tour. Alice, dont la beauté emportait le rigide Eiffel, travailleur infatigable et apôtre de la technique... Entre réalité historique et fiction romantique, A comme Eiffel nous entraîne à la rencontre d’un Icare moderne qui connut l’ascension puis la chute, vivant aujourd’hui encore dans nos imaginaires à l’ombre de son œuvre la plus célèbre.

En attendant la fiche, quelques planches sont visibles sur le site éditeur.

[Marion N]

Chronique de A comme Eiffel par A. Perroud.

[yannzeman]

Je ne comprend pas trop...

Les histoires unitaires / gros pavets ne devaient pas se retrouver dans le sous-forum qui leur est dédié ?

Ici, c'est plutôt les séries à suivre, non ?

[stoney]

Biopic romancé de Gustave Eiffel très réussi. J'ai personnellement appris énormément de choses.

[Capitaine Haddock]

Je viens de le lire (tardivement, je l'avais acheté en avril) et je retrouve une partie des critiques que lui adressait la chronique. Le dessin de Xavier Coste est toujours aussi beau, mais fallait-il choisir le même traitement graphique pour une fiction légère et campagnarde comme l'Enfant et la rivière que pour cet Eiffel, où ça doit sentir le fer et la soudure ? Ce traitement un peu éthéré nuit à la force d'un album qui malgré tout se lit très bien, et où le profane apprend énormément de choses.

Peut-être qu'un Schuiten - le premier nom de dessinateur qui m'est venu très axé architecture / steampunk / ferraille à gogo - aurait donné le petit plus qui manque à ce livre - qui reste malgré tout très honnête.