[Et si l'amour c'était aimer] par Fabcaro

[junjun]

Message précédent :
une réédition qui vient de sortir :


(déjà mentionné un peu plus haut, mais voici le visuel )

[2fois2cinq]

Ultra bankable le gars !
La Clôture, je l'avais relue juste après Zaï Zaï Zaï Zaï et j'avais trouvé ça comme tous les autres depuis : de très bonnes idées, du rire, mais sans doute pas aussi abouti.

la clôture s'est du "gros lachage"... on peut guère plus décalé et absurde. Je vois du gotlib là dedans.
C'est vraiment très bon !

[cronos59]

https://www.franceculture.fr/emissions/ ... 1529993506

[geoff42000]

Quelques votes pour Fabcaro pour le top 100 pourraient êtres indispensables, non ? Au moins pour l'aspect unique (ou presque) de son registre. Je vais de ce pas donner une voix à 34xZaï !

Edit : déjà fait en fait ! Comme quoi...

[nexus4]

4 fois, non ?

[geoff42000]

4 fois, non ?

J'ai pas aimé le dernier quart...

[Bossacdenoyau]

Pas vu de sujet généraliste sur Fabcaro, alors je le mets là.


Du délire très construit alors, parfois, ça pioche un peu.
Mais Fabcaro est maître en Absurdie et, comme d'habitude avec lui, il y a de vraiment bons moments.
Nécessaire et salutaire.

[Tireg]

Il y a quand même des sacrées punchlines dans cet album, qui m'a encore fait énormément rire.

[Révéler] Spoiler:

"ET S'IL TE PLAIT, C'EST POUR LES MIGRANTS ?!"

Mais effectivement, sans doute trop construit pour être totalement débridé dans l'absurde, mais quand même, ça part vraiment très très loin.

[Alexander]

Formica, le nouveau Fabcaro passe un cap, monte d’un cran dans le bizarre. L'auteur passe la frontière (indicible) de l’absurde au non-sens.
Perso je ne suis pas bien sur que ce soit construit, j’aurai même tendance à penser l’inverse, le découpage en trois actes est heureusement gratuit, et on a parfois l’impression que des gags en une planche sont dilués dans l’histoire de ce repas de famille. Tout comme ZZZZ on rêve de le voir mis en scène au théâtre, on est pas si loin de Beckett ou de Dubillard.
Je n’ai pas été mort de rire, ce n'est plus le but d'ailleurs, mais amusé et fasciné par ces textes drôles et délirants, ces rapports déglingués, cet univers déréglé, à la manière de performances artistiques, ou d’œuvres d’art contemporain, qui ne cherchent plus rien du côté de l’esthétisme ou de la narration, juste à générer chez le lecteur-spectateur un sentiment poétique.
Ceux qui ont aimé pourront s'intéresser à l’œuvre de Kamagurka, particulièrement à Cowboy Henk.

[ubr84]

Formica m'a complètement fait flipper, j'ai diner chez mes beaux-parents et déjeuné chez mes parents ce week-end, ce livre m'a hanté pendant ces deux repas

Ne le lisez pas si vous voulez garder des relations normales avec vos proches, cet auteur est dangereux !

[BDbilos]

Cette fois c'est sûr ! Il me le faut

[Tireg]

Formica, le nouveau Fabcaro passe un cap, monte d’un cran dans le bizarre. L'auteur passe la frontière (indicible) de l’absurde au non-sens.
Perso je ne suis pas bien sur que ce soit construit, j’aurai même tendance à penser l’inverse, le découpage en trois actes est heureusement gratuit, et on a parfois l’impression que des gags en une planche sont dilués dans l’histoire de ce repas de famille. Tout comme ZZZZ on rêve de le voir mis en scène au théâtre, on est pas si loin de Beckett ou de Dubillard.
Je n’ai pas été mort de rire, ce n'est plus le but d'ailleurs, mais amusé et fasciné par ces textes drôles et délirants, ces rapports déglingués, cet univers déréglé, à la manière de performances artistiques, ou d’œuvres d’art contemporain, qui ne cherchent plus rien du côté de l’esthétisme ou de la narration, juste à générer chez le lecteur-spectateur un sentiment poétique.
Ceux qui ont aimé pourront s'intéresser à l’œuvre de Kamagurka, particulièrement à Cowboy Henk.

Dans le fait de parler de "construction", je pensais plus à la trame générale qui est construite : il y a un début, un milieu et une fin. On est pas chez Edika par exemple, ni chez David Lynch dans un tout autre genre.