noise a écrit:Pauvre Retailleau, obligé de bosser avec un président de gauche

noise a écrit:Pauvre Retailleau, obligé de bosser avec un président de gauche
kantessekonmange a écrit:Quelle chance !
noise a écrit:Pauvre Retailleau, obligé de bosser avec un président de gauche
kantessekonmange a écrit:il me revient en tête l'inauguration de la médiathèque où je bosse. C'est François Fillon qui était venu couper le ruban.
la DGS de l'époque, qui devait craindre qu'on dise des conneries, voulait qu'on soit (les catégories C) dans une pièce à l'écart le temps de cette inauguration...
Mirdhynn a écrit:kantessekonmange a écrit:Quelle chance !
Tu m'étonnes. Réunion de brieffing demain pour toute la boite, surement histoire qu'on dise pas de conneries.
Je sais pas si je dois parler du fait qu'on a un rythme de boulot de dingue et que on nous offre pour le 2ème année consécutive une augmentation royale de 0.3% pour financer les actionnaire du fond de pension américain qui nous détient
kantessekonmange a écrit:t'oublieras pas de nous faire
Mirdhynn a écrit:kantessekonmange a écrit:il me revient en tête l'inauguration de la médiathèque où je bosse. C'est François Fillon qui était venu couper le ruban.
la DGS de l'époque, qui devait craindre qu'on dise des conneries, voulait qu'on soit (les catégories C) dans une pièce à l'écart le temps de cette inauguration...
Ça risque d'être ce genre de truc je pense. J'espère juste que l'on ne nous demandera pas de poser en rang d'oignons à l'arrière-plan d'une interview comme j'ai déjà vu à la télé
P***** j'ai hâte....
fanche a écrit:tout à fait, il y a l'option plomberie qui est beaucoup plus épanouissante
Entre le gouvernement et les syndicats, le dialogue s’enraye. Deux courriers adressés aux partenaires sociaux, coup sur coup, vendredi 8 puis samedi 9 août, ont relancé la colère unanime des organisations de salariés et, dans une moindre mesure, celle du patronat à l’encontre du budget 2026 et des réformes sociales que souhaite mener le gouvernement de François Bayrou à l’automne.
Le locataire de Matignon a d’abord fait parvenir une lettre de cadrage fixant les modalités de la négociation sur une nouvelle réforme de l’assurance-chômage ainsi qu’un document d’orientation précisant les modalités de la suppression de deux jours fériés. Dans ses missives, M. Bayrou apparaît déterminé à obtenir 4,2 milliards d’euros dès le budget 2026 avec la suppression de deux jours fériés, « le lundi de Pâques et le 8 mai », pour les salariés du privé et du public, même si les jours envisagés peuvent encore être « discutés », selon le premier ministre.
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