






drabag a écrit:J'ai beaucoup perdu, mais là, j'aimerais bien que tu me signales les fautes d'orthographe du texte
nexus4 a écrit:Le long de la côte galloise, un village est la proie d'une série de crimes inexplicables. Le personnage central – amateur de littérature fantastique – fait progressivement la connaissance d'une étrange jeune fille alternant douceur et furie. Le finale se déroule dans une demeure envoûtante pourtant supposée avoir été ravagée par le feu. La jeune fille se vengerait-elle des villageois qui ont refusé de porter secours à ses parents ? Une captivante réflexion sur les techniques que la BD offre pour transmettre le sentiment de « peur » et les mises en scène possibles de cette dernière. Sorel rend hommage à Arthur Machen, un de ses romanciers favoris ; toute la campagne, les forêts qui entourent ce petit village portuaire maudit s'inspirent des textes de cet auteur gallois. Un projet de plus de vingt ans prend ainsi forme en regroupant toutes sortes de références et de réflexions sur la mise en scène de la peur !
Guillaume Sorrel est reconnu comme un maître du fantastique européen en illustration et bande dessinée, notamment admiré par ses confrères et le public pour sa mise en couleurs directes.
La bonne formulation dépend du contexte, mais généralement on écrit « mise en couleur directe » au singulier.
Explication :
« Mise en couleur » est une locution figée utilisée dans les domaines artistiques, graphiques ou industriels pour désigner l'action de colorier, peindre ou teinter une surface.
L’adjectif « directe » vient qualifier cette mise en couleur (donc accord au féminin singulier).
Le pluriel « couleurs » serait utilisé si on voulait insister sur la diversité des teintes appliquées, mais dans l’usage courant et technique, c’est souvent « mise en couleur » qui est employé.





Info édition : Tirage de tête à 999 exemplaires avec jaquette et frontispice inédit imprimé sur papier d'art numéroté et signé.



Waline a écrit:Le scénario est à l’avenant, avec l’ensemble des thèmes fantastiques et tourmentés qui font la marque de fabrique de son auteur.

Casou a écrit:Waline a écrit:Le scénario est à l’avenant, avec l’ensemble des thèmes fantastiques et tourmentés qui font la marque de fabrique de son auteur.
Si le scénario tient la route, c'est chouette. Personnellement, je n'avais pas du tout accroché à l'histoire de " Bluebellwoods " par exemple qui était loin d'égaler son dessin. " Hôtel " était un peu mieux dans mon souvenir (avec un dessin de haute volée là aussi), mon préféré restant Algernon Woodcock. A voir pour ce dernier opus alors.

Waline a écrit:Casou a écrit:Waline a écrit:Le scénario est à l’avenant, avec l’ensemble des thèmes fantastiques et tourmentés qui font la marque de fabrique de son auteur.
Si le scénario tient la route, c'est chouette. Personnellement, je n'avais pas du tout accroché à l'histoire de " Bluebellwoods " par exemple qui était loin d'égaler son dessin. " Hôtel " était un peu mieux dans mon souvenir (avec un dessin de haute volée là aussi), mon préféré restant Algernon Woodcock. A voir pour ce dernier opus alors.
Algernon reste un de ses chefs d’œuvre, malheureusement inachevé. On retrouve dans Deryn Du certaines de ses thématiques, avec comme souvent chez Sorel une volonté marquée de ne pas tout expliquer, de laisser le lecteur libre de son interprétation et de ses émotions.



jolan a écrit:Pas du tout tenté par cette preview.
Le meilleur de Sorel reste et restera pour moi "L'Île des Morts" et "Le Fils du Grimacier"



Casou a écrit:L'île des morts, ça a l'air très clivant au niveau des avis, vous m'intriguez là.


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