Le Complot a écrit:Rendez nous Thatcher et Reagan, Trump fait vraiment petit bras à côté..
Le Complot a écrit:Rendez nous Thatcher et Reagan, Trump fait vraiment petit bras à côté..
Oui m'enfin la probabilité que je sois élu pape avant fin 2020 non plus techniquement.Brian Addav a écrit:Mister_Eko a écrit:Le scénario catastrophe pour Biden est aussi probable que celui ou que Macron démissionne, avec une élection qui a lieu avant Noël et Olivier Faure élu au premier tour. [emoji14]Brian Addav a écrit:Mister_Eko a écrit:Il vient aussi de se faire envoyer bouler méchamment par un juge qu'il avait lui même nommé en PA.
Après c'est pas toi que je visais, toi tu sais que fin janvier Biden sera président, d'autres n'y croyaient pas sur ce topic.
Y'a encore un doute avec le collège électoral hein...
La probabilité est pas nulle donc...
ZPATZ a écrit:Never Mind the Bollocks... la grande pèriode !
euh... si vous le dites a écrit:ZPATZ a écrit:Never Mind the Bollocks... la grande pèriode !
Si on veut être tout à fait correct, on précisera que Never mind the bollocks sort en 1977 dans une Grande-Bretagne dirigée par les Travaillistes.
Thatcher n'arrive au pouvoir qu'en 1979. A ce moment, les Sex Pistols sont déjà séparés et Sid Vicious est mort.
Morti a écrit:Le Complot a écrit:Rendez nous Thatcher et Reagan, Trump fait vraiment petit bras à côté..
'tain, je viens de finir The Crown, période Thatcher,...mais quelle sal... cette femme, on aurait dû la pendre par les c... (car elle en avait quand même plus que les hommes de son époque).
Si on en croit la série, elle aurait dit des trucs inconcevables...je ne me rappelais pas qu'elle était si effroyable...
Morti a écrit:Si on en croit la série, elle aurait dit des trucs inconcevables...je ne me rappelais pas qu'elle était si effroyable...
La quatrième saison de The Crown, qui dépeint la monarchie britannique sous le règne d’Élisabeth II, est critiquée pour avoir pris trop de libertés vis-à-vis des faits historiques.
Son scénariste, Peter Morgan, l’admet :
Il faut parfois renoncer à l’exactitude, mais jamais à la vérité.
Joe Biden se fracture le pied en jouant avec un de ses chiens
nexus4 a écrit:Tain, mais 2020 c'est Groland.Joe Biden se fracture le pied en jouant avec un de ses chiens
Face aux menaces reçues par les employés électoraux en Géorgie, le républicain Gabriel Sterling s’est adressé au président sortant pour lui demander d’arrêter d’envenimer la situation. S’il ne condamne pas les violences, il pourrait y avoir des morts, prévient-il.
“Tout cela est allé trop loin”, tempête, à bout de nerfs, le républicain Gabriel Sterling. Responsable des modes de scrutin dans l’État de Géorgie, où Donald Trump est donné perdant, ce républicain a décidé de s’adresser directement au président sortant et aux responsables de son parti, pour leur demander de cesser d’attiser les tensions postélectorales.
Donald Trump continue, un mois après l’élection présidentielle du 3 novembre, de contester sa défaite et de clamer l’existence de fraudes – contre l’avis d’une partie de son entourage. Ces accusations ont provoqué de vives tensions dans tout le pays, et, comme l’explique Gabriel Sterling dans la vidéo ci-dessus, elles ont aussi donné lieu à des menaces de mort à l’encontre des employés électoraux. “Il faut que ça cesse”, tonne M. Sterling, qui parvient difficilement à contenir sa colère.
Monsieur le président, vous n’avez pas condamné ces actes ni ces mots. […] Nous avons besoin que vous preniez la parole, et puisque vous voulez avoir une position de leadership, montrez-vous en digne !”
À toutes les personnalités politiques “qui n’ont pas dit le moindre mot” pour calmer les esprits, ce responsable de la logistique électorale déclare : “Vous êtes complices.” Il est urgent que le camp Trump “cesse d’encourager les gens à commettre des violences”, insiste-t-il, sans quoi “quelqu’un va finir par être blessé, se faire tirer dessus ou être tué”.
rahoul a écrit:Face aux menaces reçues par les employés électoraux en Géorgie, le républicain Gabriel Sterling s’est adressé au président sortant pour lui demander d’arrêter d’envenimer la situation. S’il ne condamne pas les violences, il pourrait y avoir des morts, prévient-il.
“Tout cela est allé trop loin”, tempête, à bout de nerfs, le républicain Gabriel Sterling. Responsable des modes de scrutin dans l’État de Géorgie, où Donald Trump est donné perdant, ce républicain a décidé de s’adresser directement au président sortant et aux responsables de son parti, pour leur demander de cesser d’attiser les tensions postélectorales.
Donald Trump continue, un mois après l’élection présidentielle du 3 novembre, de contester sa défaite et de clamer l’existence de fraudes – contre l’avis d’une partie de son entourage. Ces accusations ont provoqué de vives tensions dans tout le pays, et, comme l’explique Gabriel Sterling dans la vidéo ci-dessus, elles ont aussi donné lieu à des menaces de mort à l’encontre des employés électoraux. “Il faut que ça cesse”, tonne M. Sterling, qui parvient difficilement à contenir sa colère.
Monsieur le président, vous n’avez pas condamné ces actes ni ces mots. […] Nous avons besoin que vous preniez la parole, et puisque vous voulez avoir une position de leadership, montrez-vous en digne !”
À toutes les personnalités politiques “qui n’ont pas dit le moindre mot” pour calmer les esprits, ce responsable de la logistique électorale déclare : “Vous êtes complices.” Il est urgent que le camp Trump “cesse d’encourager les gens à commettre des violences”, insiste-t-il, sans quoi “quelqu’un va finir par être blessé, se faire tirer dessus ou être tué”.
https://www.courrierinternational.com/v ... r-etre-tue
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