

Diddu a écrit:Bon après, leur directeur général est un ancien directeur marketing de labo pharmaceutique et cosmétique (La roche posay, L'oréal, etc...), il ne faut pas chercher beaucoup plus loin.
La BD, c'est un métier
Qui sait, après Dupuis, il ira peut-être travailler chez Renault.


Diddu a écrit:Bon après, leur directeur général est un ancien directeur marketing de labos pharmaceutique et cosmétique (La roche posay, L'oréal, etc...), il ne faut pas chercher beaucoup plus loin.
La BD, c'est un métier
Qui sait, après Dupuis, il ira peut-être travailler chez Renault.
 
 


toine74 a écrit:zourbi le grec a écrit:Vous présumez beaucoup d'intentions ou de manœuvres machiavéliques alors que les éditeurs d'aujourd'hui depuis toujours sont surtout des commerçants. La gestion du patrimoine, c'est le taf de l'état
J'ai corrigé ta phrase.



horto a écrit:...
Si un éditeur a toujours été un commerçant, il avait le gout, le plaisir d'éditer un livre, pas simplement un objet. Il créait un lien indéfectible avec des auteurs (certains chéris, d'autres oubliés, comme dans une famille).
Que des commerciaux arrivent, pourquoi pas, si et seulement si ils ont compris cette différence. Le directeur éditorial qui crée le lien avec les auteurs et les valeurs d'une entreprise (chez dupuis: humour, aventure, ton gentiment irrévérencieux, aspect familial, Ami de Spirou, etc.), si tu t'assieds dessus, il ne reste rien pour une maison d'édition. Jean Van Hamme avait très bien compris cela, tout en amenant de la nouveauté (Aire Libre, repérages) pour élargir le public, mais avec un niveau d'exigence, et un lien avec les auteurs très fort. Mais il était auteur lui-même, malgré le fait d'avoir travaillé chez Philips.
Comme quoi, c'est possible.
 
 


toine74 a écrit:Quant au concept de grande famille et de liens indéfectibles entre éditeurs et auteurs, c'est du pipeau de première.


Ocatarinetabelatchixtchix a écrit:toine74 a écrit:Quant au concept de grande famille et de liens indéfectibles entre éditeurs et auteurs, c'est du pipeau de première.
On voit bien que t'as pas connu l'époque de Charles Dupuis qui vouait toujours une admiration sans bornes à "sa" famille, à "ses" artistes comme il les appelait.
 
  


toine74 a écrit:
Quant au concept de grande famille et de liens indéfectibles entre éditeurs et auteurs, c'est du pipeau de première. Évidemment, qu'humainement, des relations d'estime et d'amitié se tissent entre individus qui travaillent ensemble. Par contre, le juge de paix final a toujours été et sera toujours les chiffres de vente.


 ), c'est dans l'interprétation que nous différons. Évidemment que Dupuis (et les autres éditeurs historiques) étaient des entreprises "familiales" et l'atmosphère était plus "conviviale" que peut l'être celles des entreprises d'aujourd'hui.
 ), c'est dans l'interprétation que nous différons. Évidemment que Dupuis (et les autres éditeurs historiques) étaient des entreprises "familiales" et l'atmosphère était plus "conviviale" que peut l'être celles des entreprises d'aujourd'hui. 


 
 

toine74 a écrit: Dupuis a fait un énorme boulot de réédition ces 20 dernières années, dire le contraire est mentir.


 
  


Remember a écrit:...
bref Dupuis se fond dans la masse "media participation" (DARGAuD et le LOMBARD sont pareil) les titres paressant chez l'un pouvant également paraitre chez l'autre. Alors qu'avant d'n coup d’œil on pouvait identifier une BD Dupuis sans lire la mention de l'editeur sur la couverture !









 
  ). Le pataquès autour de la Gorgonne me paraît futile et évidemment idiot, mais l'album était pas mal pourri au départ (selon moi, j'ai même écrit une chronique dessus), donc, rien de dramatique au final.
 ). Le pataquès autour de la Gorgonne me paraît futile et évidemment idiot, mais l'album était pas mal pourri au départ (selon moi, j'ai même écrit une chronique dessus), donc, rien de dramatique au final. 

horto a écrit:Là où on peut différer, c'est que les uns y voient une période transitoire, une évolution nécessaire pour la survie de la maison d'édition, là où d'autres y voient le naufrage car Dupuis oublie son passé et son "core business" (bouh, ça fait anglicisme commercial pourri).
Je suis plutôt de la 2e option, non pas par nostalgie de la bd de "papa", mais par la qualité actuelle offerte, et des décisions choquantes (l'affaire Dany, Hardy, Abitan-Guerrive...) qui écornent l'image de l'éditeur.


horto a écrit:Je crois qu'on se retrouve tous sur l'essentiel: Dupuis a changé, et l'équipe actuelle tente, teste, mais n'y arrive pas.


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