Elric Dufau a écrit:Oui, voilà, c’est ce que je voulais dire. Les 15 scènes c’est un repère de place prise dans un album. Ça n’a rien à voir avec la structure. La structure c’est comment articuler ces scènes. C’était juste pour faire réaliser que 46 pages c’est super court pour développer une intrigue complexe.
Donc ce que je voulais dire par là c’est qu’il ne faut pas avoir de grandes attentes dans les formats 46 planches.
D'ailleurs, j'aimerai savoir, parmi les gens qui ont plus de 30 ans, quelles BD tout public, aventure/humour (en nouveauté) ils ont vraiment aimé en format 46 planches dans les 10 dernières années.
C'est clair que le 48cc (donc un 44 planches) c'est court pour une histoire auto-suffisante. D'ailleurs je trouve que le commité Jacques Martin devrait retourner à du 56 ou 64 planches (comme durant les 60/70's), car c'est trop souvent la cata pour tout caser dans les dernières pages.
En fait, le cahier de charge à respecter est probablement le gros problème, pourquoi se limiter à 15, quand 14 ou 16 pourraient passer
Bien que je ne sois pas un irréductible du format traditionnel, cela me convient parfaitement pour les cycles de trois à 5 tomes (tout ce qui est de Léo, par ex) ou pour des albums simples comme les derniers Jonathan (pour ne citer que qq'uns)