Puisque l'heure semble aux confidences, j'avoue, j'ai beaucoup de mal avec (entre autres) Mathieu Sapin...



Clovis Sangrail a écrit:Si vous le permettez, j'ajouterai même que, quand même quelque part, souvent, dans ce genre de romans graphiques, eh bien même l'histoire, comment dire... elle est aussi un peu à ch...![]()
(OK, pas tous, pas tous, certes... mais beaucoup quand même, notamment les trucs bien nombrilistes ou pseudo-rebelles)
Mais il ne faut pas le dire, parce que prétendre apprécier ces ouvrages, ça pose son snob connaisseur.



Genug a écrit:Pour ceux qui seraient passés à côté, voici l'un des "pères" graphiques de Gillon, sûrement au moins aussi injustement méconnu que lui...



C'est de notoriété publique, en effet.nexus4 a écrit:Poivet a inspiré Arzach, s’il vous plaît.
Blackfrag a écrit:Je pense que de Gillon, le plus connu doit être "La survivante" non ? en tout cas j'ai découvert par cette série à l'époque. Poïvet je ne connaissais pas.
A une époque pas si vieille, on pouvait acheter en neuf le dvd sur Poïvet pour trois fois rien), Paul Gillon ou Robert Gigi (des dessinateurs proches et amis) ont tous trois eu leur heure de gloire, que ce soit dans les années 50, 60 ou 70 et 80. Mais la mode n'est plus à mettre en avant ces humbles artisans qui ont pratiquement tous fini dans la dèche. 
Blackfrag a écrit:Je pense que de Gillon, le plus connu doit être "La survivante" non ? en tout cas j'ai découvert par cette série à l'époque. Poïvet je ne connaissais pas.




Olivier_D a écrit:Gillon est éblouissant de maîtrise technique, c'est superbement élégant, mais ça reste très froid, distant comme dessin, ce qui m'a toujours empêché de développer une vraie passion pour son travail.



Cabarezalonzo a écrit:C'est parce que tu le connais bien mal. Gillon a bâti sa renommée avec des bandes en noir et blanc : Fils de Chine, Oeil de Lynx, 13 rue de l'Espoir, Jérémie, Les Naufragés du temps, Bananes mécaniques, tout cela, à l'origine, c'est en noir et blanc.

brian sauter a écrit:... En occaz, j'aimerais bien me procurer le rare et cher 13 rue de l'espoir, parce que c'est bien souvent à leurs débuts que les dessinateurs donnent sans compter. Pas comme sur son Mobydick expédié en 44 planches, alimentaire mon cher Watson.
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brian sauter a écrit:comme tout amateur de beaux dessins, de noir et blanc somptueux, Gillon m'intéresse mais s'il tombe dans l'oubli, peut-être que la forme manquait de fond ?

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