




toine74 a écrit:Juste un rappel pour savoir de quoi on parle :
NOZ ou similairece n'est pas de l'occasion, mais du destockage. Les produits sont achetés au poids au prix du déchet pour être revendus dans des enseignes prix cassés. Les auteurs (et les différents acteurs du livre) ne touchent rien. (certains auteurs avec qui j'ai parlés préfèrent le pilon que cette fin)
Une brocante/librairie de seconde main/vide grenierles albums ont été achetés neufs une fois et des droits ont été payés.


yannzeman a écrit:préférer le pilon aux soldeurs, pour un auteur, je ne comprend pas la logique.


kobaia a écrit:J’achète en occasion quand l’offre n’existe plus en neuf.
J’ai acheté peut-être 25 BD et 10 romans en occasion dans toute ma vie. Je préfère le neuf, parce que j’aime le rituel d’appropriation du livre décrit par Sartre.

Erik Arnoux a écrit:yannzeman a écrit:préférer le pilon aux soldeurs, pour un auteur, je ne comprend pas la logique.
J'ai la même logique, cherche pas à comprendre.
Aucune envie de voir mes bouquins achetés 15 cts par un soldeur et revendus par le même 3 € dans les stations essence sur les autoroutes en Belgique, sachant que l'auteur est totalement hors du coup avec des gens qui eux se font simplement du blé sur son dos en exploitant le fruit de son travail. Alors donc oui, pilon direct. Tous ces discours sur l'occasion que je lis occultent gentiment le fait que pour l'auteur, les droits qui proviennent de ses albums neufs sont son unique source de revenus.








Monsieur Jean a écrit:La discussion est intéressante (...) Les soldeurs et les librairies d'occasion devraient-ils percevoir une taxe spéciale qui apporterait un revenu complémentaire aux auteurs ?



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