Petitchene a écrit:Afin d'identifier l'édition, il faut attentivement regarder la 4eme de couverture, c'est là qu'il y a une différence avec le code barre et son emplacement qui change très légèrement entre les éditions. Il faut avoir l'oeil d'un expert sur Laurel... 
Moi, je sais que si un jour j'ai besoin d'un conseil concernant Laurel, Tarrin ou Neidhardt, je te fais signe. Tu sauras aller directement au bon endroit pour traquer l'emplacement du code barre ou de tout autre détail insignifiant ou invisible à mes yeux.
Petitchene a écrit:Je suppose que ce genre de situation (colis et surtout article transporté endommagé) est déjà arrivé à d'autres personnes et j'aimerais savoir ce que vous avez fait, quel a été votre réaction. Merci pour vos réponses.
Ça m'est arrivé, il y a longtemps quand je commandais des BD directement par le biais de la vente par correspondance des éditeurs. J'étais gamin et je croyais que tout cela était normal. Ça l'était un peu, en quelque sorte, dans une époque révolue que je situe à la fin des années 70 et au début des années 80.
Aux Humanos, juste après la fondation de cette maison d'édition, c'étaient les auteurs eux-mêmes qui pouvaient s'occuper des livraisons. Le papier bulle n'était jamais utilisé. Donc si le bouquin bougeait un peu dans un carton (souvent de qualité et adaptable à différents formats), il pouvait y avoir quelques dommages.
Je me souviens aussi d'avoir commandé des bouquins en Belgique, chez Michel Deligne, par l'intermédiaire de mon libraire généraliste en France (Jean Valhardi par Paape, Spirou de Robert Velter, Belloy de Charlier et Uderzo). Ces bouquins coûtaient relativement cher mais leur couverture souple avait souvent souffert des manipulations entre l'imprimerie et l'arrivée chez le libraire. Il ne me serait pas venu à l'idée de les refuser, j'étais un môme mais je comprenais qu'il était compliqué pour mon libraire de me donner satisfaction.
Les collectionneurs avaient également moins d'exigences, notamment sur le marché de l'occasion. Ce qui faisait alors la cote, c'était la rareté d'un bouquin face à une certaine demande. On pouvait payer plein pot un bouquin épuisé, alors même qu'il n'était parfois plus très frais. C'était juste avant l'apparition des premiers catalogues argus comme le guide Horus et le BDM.
Par la suite, j'ai eu quelques mauvaises surprises dans les années 2000, lorsque j'ai acheté en ligne. Selon les vendeurs sur Ebay (faire attention aux commentaires) ou selon les sites marchands (Fnac, Amazon) le neuf pouvait être endommagé. Je me suis complètement détourné de ces sites (qui n'avaient déjà pas ma faveur) pour défendre au mieux de mes possibilités le petit commerce
(même si certains petits commerçants sont des c..., etc..., mais ceux-là, je tache de les éviter aussi, n'ayant pas les moyens de refaire le monde.
).
Je n'ai eu affaire aux services de Mondial Relay que récemment (en janvier 2021 !...), donc, j'ai peu de recul et pas grand chose à partager. Mais pour l'instant, je n'ai pas eu d'expérience malheureuse. L'expéditeur avait fait tout ce qu'il fallait pour que les bouquins voyagent en sécurité. Seuls l'incendie, l'inondation et le vol eussent pu contrarier le bon acheminement de ma commande et/ou générer une détérioration des livres.
Petitchene a écrit:J'ai vu il y quelques jours sur Vinted
une édition d'un album de Laurel que je ne possède pas encore (Eh, oui, vous avez bien lu)

.
Alors, ça, par contre, il m'a fallu le relire trois fois pour me convaincre de ce que je lisais !...
Je n'aurais jamais pensé qu'il te manquait encore un bouquin de Laurel.

Sinon, c'est la première fois que j'entends parler de Vinted. Kézako ?