darkbreizh a écrit:De toute manière, la videosurveillance ne peut être qu'un outil de résolution des crimes, et ne pourra jamais les empêcher.
600k de caméras à Londres, il y a combien de personnes pour visionner les images de ces caméras en permanence pour s'assurer que rien n'arrive dans la ville ??? C'est juste impossible à faire (ou alors on tient le moyen de resoudre le chomage à l'échelle mondiale ).
Et puis un terroriste qui veut se faire exploser sur le pare-choc de dod, c'est sûr que le fait d'être filmer, ça va le faire réfléchir à 2 fois, minimum...
Donc , pour résoudre des crimes, ça peut aider, prévenir des crimes et délits, nonL'Ombre Jaune a écrit:Ben déjà l'étude du cas du pare-chocs de la bagnole de Dod indique qu'en l'espèce, la criminalité a au moins été ralentie d'une unité (on a retrouvé le quidam qui devra réparer le dommage, ce qui annulera le préjudice de son délit), de façon corrélée au fait qu'il y avait une caméra de surveillance dans le coin.
La criminalité n'a pas été ralentie, le crime ayant été lachement commis ,mais le taux de résolution a été augmenté
pas besoin d'un péquin moyen pour analyser les images. Des logiciels le font en temps réel, mais cela pose de nouveau le risque du calibrage de la machine et du risque de "faux positifs" et même de stratégies qui trompent la machine, permettant d'échapper à la surveillance.
cela dit, limiter l'intérêt de la vidéosurveillance à la lutte contre la criminalité est sans doute réducteur. Elle peut avoir d'autres utilisation, purement orwellienne ou plus intéressante, comme la gestion des fluxs de foule, la détection des personnes vulnérables... dans les grands événements, analyser les risques, etc.
cantonner cette technologie à la seule sécurité en dit long sur l'état d'esprit de ceux qui l'utilisent.