ptit_boy a écrit:Thorgal qui devient comme Asterix, où il faut faire gaffe à tous les jeux de mots ...
Bon sinon encore un tome avec des rebondissements insensés, qui étire cette histoire qui n'a pas de sens depuis le début.
Faut vraiment être confiné pour lire ça. Plus qu'un tome, que j'achèterai betement comme les autres. Je revendrai tout d'un bloc ensuite.
Je viens de rentrer en possession de ce T8 (pas encore lu) et effectivement, je risque de me débarrasser du tout une fois fini.
C'est con, s'ils s'étaient arrêté à 4 tomes, j'aurais p-ê trouvé cela digne des 15 premiers de la série mère.
jojo74 a écrit:oui vivement la fin de cette trop longue histoire. si les auteurs veulent continuer après pourquoi pas mais partir sur des histoires en un ou deux volumes et reprendre les personnages de Aaricia et Thorgal lorsqu'il sont enfants.
au départ de la djeunessssssss, on était parti sur deux diptyques et j'avais espoir que Yann..... mais:
j' aurais dû faire l'impasse à partir du T5, mais s'il en reste 1, je continuerai.
EDIT (du lendemain): Lu et....
Thierry_2 a écrit:il faudra bien qu'à un moment, Yann en arrive au moment ou Thorgal se retrouve dans la mauvaise posture du tome 1 de la série-mère. Il ne pourra pas nous afire durer l jeunesse pendant 50 épisodes.
Sinon, ce tome est à l'image des précédents: moyen, ni honteux, ni vraiment bon. Les péripéties sont classiques. La série conserve un côté très "tout public"
Cette fois, il glisse un clin d'oeil aux gars de Brusel.
Côté dessin, Surzhenko me semble appliqué sur la première moitié de l'album, puis, il retombe dans ses approximations et son manque de dynamisme.
il faut vraiment que je sois attaché à Thorgal pour continuer d'acheter cette série
Oui,
![MDR [:kusanagui:6]](./images/smilies/kusanagui.gif)
, je crois que je l'aurais qd mm capté, mais merci pour le signalement.
Sinon, oui, pas mauvais, mais j'aurais dû sans doute relire le T7 et p-ê même le précédent avant d'attaquer celui-ci. Surtout qu'il commence sur un flashback long de 4 pages peu utile (àmha) , avec pour effet involontaire de décontenancer le lecteur.
Mieux vaut tapis Persan volé que tapis volant percé (Uderzo.... et oui, pas Goscinny)