[PREVIEW] Le Tambour de la Moskova - Simon Spruyt - Lombard

[Nirm]

LA PREVIEW :



Vincent en est sûr : l'Empereur lui a souri. Tout le monde lui sourit, d'ailleurs. Avec sa frimousse d'ange, le jeune tambour est la seule lueur d'espoir qui subsiste dans l'univers absurde de la désastreuse campagne de Russie menée par Napoléon.

Un dernier reste d'innocence, choyé et protégé par son entourage, à l'heure où la plus grande armée que le monde ait jamais connue continue de marcher à sa perte.

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Retour de Simon Spruyt après notamment Junker et Bouvaert avec un nouveau pavé (120 pages).

Ça sort le 12/03 (19,90€).

Vincent en est sûr : l'Empereur lui a souri. Tout le monde lui sourit, d'ailleurs. Avec sa frimousse d'ange, le jeune tambour est la seule lueur d'espoir qui subsiste dans l'univers absurde de la désastreuse campagne de Russie menée par Napoléon. Un dernier reste d'innocence, choyé et protégé par son entourage, à l'heure où la plus grande armée que le monde ait jamais connue continue de marcher à sa perte.

Quelques planches sur le site éditeur

[Gaston68]

Difficiel à juger avec les qqes pages présentées, mais je trouve que les trognes dans l'ensemble sont vraiment bien faites

[Bolt]

[Bossacdenoyau]

Spruyt j'achète sans voir.

[Olaf Le Bou]

c'est dommage, parce que c'est vachement beau ce qu'il fait.

[Bossacdenoyau]

[DixSept]

La chronique de Le tambour de la Moskova est sortie !

[Bossacdenoyau]

Ouaip, merci ! Lue et ça donne toujours envie.
J'espère que mon dealer l'aura demain...

[Johnny Fletcher]

Acheté ce jour, c'est magnifique, un travail graphique remarquable. Et au vu de la critique publiée ici, l'album dans son ensemble paraît l'être.
Par contre, les librairies sur Paris que j'ai visité n'ont pas tellement parié sur lui, il n'y a à chaque fois que 4 ou 5 exemplaires maxi et il se retrouve facilement à l'écart, assez peu visible en périphérie de librairie.
Ce serait dommage de passer à côté d'un album graphiquement très au dessus de la moyenne.

[Bossacdenoyau]

C'est comme d'habitude avec Simon Spruyt.
On aborde la première planche comme un tableau naïf et on bascule aussitôt dans un festival de couleurs directes.
La narration et la lisibilité sont parfaites et le personnage original.
Tous les talents du conteur sont là.
C'est du niveau de Bouvaert et Simon tient manifestement la distance.
J'adore !

[Eisenheim]

ça m'intéresse également

[nexus4]

LA PREVIEW :



Vincent en est sûr : l'Empereur lui a souri. Tout le monde lui sourit, d'ailleurs. Avec sa frimousse d'ange, le jeune tambour est la seule lueur d'espoir qui subsiste dans l'univers absurde de la désastreuse campagne de Russie menée par Napoléon.

Un dernier reste d'innocence, choyé et protégé par son entourage, à l'heure où la plus grande armée que le monde ait jamais connue continue de marcher à sa perte.

[nexus4]

C'était un peu juste j'ai rajouté quelques planches.

Et tant que j'y suis, l'illustration de couverture, sans la maquette.

[nexus4]

Encore une fois un petit bijou. Sous l'apparence d'un dessin un peu jeunesse Simon Spruyt propose un regard acidulé sur une tranche d'histoire. L'impression d'une satire très documentée (je ne suis pas spécialiste de la période mais y a des trucs tu te dis que ça ne s'invente pas ).

[2fois2cinq]

n'oublions pas que JUNKER est un chef d'oeuvre

[silverfab]

Par contre, des erreurs dans la chronique qui en parlant du héros dit

et gagnera au gré de rencontres, le sobriquet de « loin-des-balles ».

Du tout, les "loin des balles" sont tous les tambours et autres planqués de l'armée (à un moment le narrateur dit même d'un personnage quelque chose comme "lui c'était réellement un "loin des balles" ).

Ou encore qui prénomme Simon Spruyt: Vincent.
L'émotion peut être ?

[fanche]

n'oublions pas que JUNKER est un chef d'oeuvre

Tkt on oublie pas

[nexus4]

J'en remets une couche parceque je m'étais précipité pour en causer avant d'avoir tout lu.
Un des albums de l'année pour ma part. Simon Spruyt prend un malin plaisir à évoquer avec douceur les pires attrocités. Et le scénario, très fin, réserve à de nombreuses reprises des surprises qui donnent un éclairage nouveau sur la scène que l'on suit ou sur l'histoire en générale. Le regard que l'on porte sur l'ouvrage s'élargi peu à peu. Un bijou (je l'ai déjà dit ?).

[euh... si vous le dites]

J'en remets une couche parceque je m'étais précipité pour en causer avant d'avoir tout lu.
Un des albums de l'année pour ma part. Simon Spruyt prend un malin plaisir à évoquer avec douceur les pires attrocités. Et le scénario, très fin, réserve à de nombreuses reprises des surprises qui donnent un éclairage nouveau sur la scène que l'on suit ou sur l'histoire en générale. Le regard que l'on porte sur l'ouvrage s'élargi peu à peu. Un bijou (je l'ai déjà dit ?).

Complètement.
Je pense qu'en fin d'année, cet album figurera parmi mes indispensables de 2021.
Ceci dit, pour conserver tout le sel de certaines surprises du scénario, je conseillerais de lire l'album avant de lire la chronique du site.

[Steph44]

Aussi peu de commentaires pour un tel livre est bien dommage.
Venant de tourner la dernière page, j'apporte ma petite contribution pour remonter le sujet et peut-être susciter quelques envies.
Le Tambour de la Moscova est un petit bijou et assurément Simon Spruyt un grand auteur... (j'avais lu le très beau Junker).
A la fois ambitieux, mais très accessible, le Tambour aborde une période peu traitée, à ma connaissance, dans la bande dessinée, la fin du premier empire, plus précisément la campagne de Russie.
L'histoire est belle, la construction fluide et efficace et les dessins (devrait-on parler de peinture ?) somptueux.
Malgré une bonne critique sur ce site, le Tambour semble passer en dehors des radars d'une grande partie du public.
Il est encore temps de corriger cela.
Le Tambour fait partie de mes plus belles lectures de ces derniers mois.