scubby a écrit:Très bien aimé ce volume. Outre la qualité du dessin, j’aime bien que des scénaristes osent encore les récits bien linéaire, à l’image d’un bon vieux films James Bond (avant le suicide de la franchise avec Daniel Craig) où l’on passe du point A initial au point B final de façon direct, sans sous histoires qui s’enchevêtrent et en rompant avec cette exécrable mode de vouloir prioriser la psychologique des personnages (le plus souvent au détriment de l’histoire). Et sans monter en intensité outre que de minutieusement suivre la trame. C’est basique et simple (qualité qui mériterait en 2025 d’être redécouverte…) mais efficace et distrayant.
En gros t'aime pas les BD de Jacques Martin?
Parce que les récits y montent fréquemment en intensité (cf. les finaux grandioses/épiques des deux premiers Lefranc ou des
Portes de l'enfer, pour n'en citer que quelques uns). Quant à la psychologie des personnages, elle était centrale dans Alix, avec ses méchants ambigus et équivoques (au contraire de Rastapopoulos, Olrik et... Arbacès, rapidement exécuté par jacques Martin précisément pour son côté "méchant de service")...