


Pitjes a écrit: Rien de cela chez JMC. C'est juste un "oubli" maladroitement camouflé en dernière case, une "faute professionelle", un "foutage de gueule", "du grand nimporte quoi", "de l'amateurisme".


JYB a écrit:j'en connais un qui va râler...




JYB a écrit:A noter que le "modèle" du pilote décédé, le pilote Léon Biancotto comme on le lit sur la page de mon site dont j'ai donné le lien plus haut, était marié quand il est décédé, et non fiancé. Je suppose que Charlier a préféré ne pas coller à 100% à la réalité ni montrer, dans la BD, cette femme devenir veuve devant les yeux des enfants qui lisaient Spirou, au risque de les traumatiser davantage.


the frog a écrit:Sinon, merci, Jean-Yves pour rappeler le point de depart du Signe Indien. Je comprends mieux pourquoi JMC a fait tuer le jeune pilote en plein milieu de l'album. C'est la raison pour laquelle, je ne l'ai jamais beaucoup aime depuis que je l'ai lu la premiere fois , je devais avoir 12 ou 13 ans, Charlier avait decrit le jeune homme comme etant tres sympathique et enthousiaste et sa mort brutale m'avait choque. Je n'etais pas content contre le scenariste. Je preferais que les salauds meurent plutot que les autres.


Le roman a été publié en fait en 1996.JYB a écrit:Mais il y a mieux (?) avec le titre exact Le signe indien de Charlier et Mitacq, mais dans le cadre d'une autre histoire de scouts (par Jean Bernadac) :
[...]
Ce récit, publié apparemment en 2001 (donc juste 40 ans après celui des Castors dans Spirou), met en scène la patrouille des... Isards, avec son chef de patrouille Denis, son brillant second André, un scout cuistot hors pair qu'on surnomme l'Ourson (pas Tapir), etc. Mais je ne connais pas la trame de l'histoire.
L'auteur, Bernadac, étant également dessinateur, c'est qui qui a réalisé l'illustration de couverture.


JYB a écrit:Mais il y a mieux (?) avec le titre exact Le signe indien de Charlier et Mitacq, mais dans le cadre d'une autre histoire de scouts (par Jean Bernadac) :
Ce récit, publié apparemment en 2001 (donc juste 40 ans après celui des Castors dans Spirou), met en scène la patrouille des... Isards, avec son chef de patrouille Denis, son brillant second André, un scout cuistot hors pair qu'on surnomme l'Ourson (pas Tapir), etc. Mais je ne connais pas la trame de l'histoire.
L'auteur, Bernadac, étant également dessinateur, c'est lui qui a réalisé l'illustration de couverture.



Pitjes a écrit:Je viens de lire (ou relire, pour beaucoup d’albums, 35 ans après une première lecture) les tomes 1-16 de la patrouille des Castors. C’est incroyablement mauvais. Un truc aussi nul serait impubliable aujourd’hui. Même pour l’époque, c’est fou qu’on ait laissé passer un truc aussi mal torché. Charlier faisait du grand n’importe quoi et répétait la même trame, album après album, toute honte bue. Presque aussi mauvais que Marc Dacier (une autre daube de JMC). Toujours les mêmes gags tarte à la crème avec Tapir, les mêmes pseudo intrigues pour découvrir un méchant qui est connu dès les premières pages, les mêmes grossiers tours de passe-passe, les indices gros comme des camions, les filatures débiles, les pièges que les scouts tendent à des malfaiteurs qui tombent à coup sûr dedans les yeux fermés, les faux méchants qui sont bons et les faux bons qui sont méchants, etc. On en a lu un, on les a tous lus.
Le truc le plus horripilant est cette manie de clôturer les albums de manière abrupte. Jusqu’au milieu de la toute dernière page, les scouts sont en situation désespérée. Et en quatre cases, les méchants sont arrêtés et tout est bien qui finit bien. Du vrai foutage de gueule. Le sommet est atteint dans l’album « Le signe Indien », où il n’est question de signe indien nulle part dans la BD – sauf dans la dernière case !!! Complètement ridicule. La preuve que JMC improvisait ses scénarios à la petite semaine sans savoir où il allait. Comment l’éditeur a-t-il pu tolérer des scénarios aussi indigents ?
Une double histoire sort néanmoins du lot et est un peu mieux écrite que les autres : celle de l’autobus hanté et du fantôme. Le reste est à laisser dans les bibliothèques poussiéreuses.

Disponibilité : le 15 mai 2025
La collection VINT’PAGE présente le travail artistique de MiTacq tel qu’il était en 1954-1955. Les planches et dessins sont proposés en fac-similé, fidèles à leur création d’origine. L’histoire de La Patrouille des Castors, « Le Mystère de Grosbois », écrite par Jean-Michel Charlier et illustrée par MiTacq, a été publiée pour la première fois dans le journal Spirou, du numéro 867 (25/11/1954) au numéro 885 (31/03/1955), avant d’être éditée en album en 1955 aux éditions Dupuis.
Les albums de la collection VINT’PAGE offrent aux lecteurs, grâce aux fac-similés, une vision des planches originales qu’ils ne voient jamais habituellement.
Les albums de la collection VINT’PAGE revêtent une dimension patrimoniale en mettant en valeur le génie créatif des auteurs, les rendant accessibles grâce à un tirage non limité et à un prix abordable. Ces albums s’adressent à tous les amateurs de bandes dessinées, qu’ils soient connaisseurs ou novices, et ouvrent une porte vers un univers fascinant où l’art et la narration se rencontrent pour offrir une expérience de lecture unique.
Le rédactionnel de cette collection est assuré par Patrick Gaumer.
Format 270 x 340 mm — papier Biotop3, 160 gr. — couverture brochée 380 gr. — reliure « fil apparent » qui permet une ouverture a-plat de l’ouvrage.



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