En adressant à Hergé le contrat d'édition de L'île noire, Louis Casterman lui fait part de son intention de réduire la pagination des albums Tintin : Il envisage de limiter le nombre de pages à 100 [...]Hergé pense que Le sceptre d'Ottokar ne devrait pas dépasser les 100 pages [...] Hergé en est déjà à 106 pages : il devrait s'arrêter.
Cyril91 a écrit:Je suis en train de lire la biographie d'Hergé écrite par Philippe Goddin et, arrivé à l'avant deuxième guerre mondiale, il y a un point que je trouve bizarre (et qui, sauf oubli de ma part, n'a pas été expliqué avant et ne l'est en tout cas pas en note de bas de page). Aux p. 200 et suivantes, l'auteur parle de discussions entre Casterman et Hergé, l'éditeur lui demandant de limiter sa pagination. Et il est écrit :En adressant à Hergé le contrat d'édition de L'île noire, Louis Casterman lui fait part de son intention de réduire la pagination des albums Tintin : Il envisage de limiter le nombre de pages à 100 [...]Hergé pense que Le sceptre d'Ottokar ne devrait pas dépasser les 100 pages [...] Hergé en est déjà à 106 pages : il devrait s'arrêter.
Le nombre mentionné m'étonnant, j'ai regardé mes exemplaires des BDs mentionnées : 62 pages pour chacun des deux albums. Alors, certes, ce ne sont pas les éditions de l'époque, quelques passages ont pu être retravaillés et allégés, l'éditeur compte peut-être quelques pages blanches avant ou après la BD proprement dite. Mais ça n'explique pas 40 pages d'écart. Quelqu'un aurait-il une explication ?
Cyril91 a écrit:Merci. C'était des pages de taille différente de celles qu'on connaît ; ou bien y a-t-il eu beaucoup de pages supprimées ?
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