Après coup, on se dit que l'état de santé de Gotlib explique peut-être en partie la soudaineté de ces hommages plus ou moins groupés (l'expo, les numéros hors-série de L'Express, Pilote-Fluide, etc...) dont Marcel et nous-mêmes avons pu bénéficier depuis deux ans.
Personnellement, je n'avais pas boudé mon plaisir et profité de ces opportunités comme elles se présentaient, même s'il reste encore à faire pour rendre justice au talent du bonhomme. Notamment un artbook qui reprendrait ses illustrations pour des affiches, et couvertures de livres, revues et BD, qui sont des modèles du genre.
Tibet (Chick Bill, Ric Hochet) le Marseillais exilé à Bruxelles évoque ses relations avec Gotlib dans la monographie parue au Lombard. Ils s'étaient rencontrés tardivement mais se sont en revanche appréciés assez vite, leurs débuts quasiment similaires dans le métier et des goûts communs les ayant rapprochés. Tibet était un "déconneur" du genre sympa, ceci expliquant peut-être cela. Il était bien pote avec Goscinny, également. Faudra que je relise ces passages, à l'occasion.
, même si la formule des derniers numéros n'avait strictement rien à voir avec celle des tout premiers où seuls Marcel Gotlib (Gottlieb se prononce Gotlib), Claire Bretécher et Nikita Mandryka officiaient.
Il n'y a que sur ce topic, avec son spectre élargi d'opinions, qu'on peut lire une telle prose. 
), il suffit d'ouvrir un de ses albums et inexorablement nos zygomatiques sont durement sollicités que l'on soit à la première ou la 1000ème lecture, et c'est le plus beau des hommages possibles 
très bon, j'adore ![[:flocon:2]](./images/smilies/flocon2.gif "Bravo")
Alors avec Zourbi, nous pouvons chanter en choeur, comme dans la Guerre des Boutons : "Mon 
