Pomponazzo a écrit:Je cerne pas vraiment où tu vois "tout un foin". Nouvelle édition de la Ballade, on en discute, on donne ou reçoit des infos, on se demande si ça vaut la peine de péter une Xième fois la tire-lire, voilà tout. Dans la bonne humeur si possible. Non ?
danielsansespace a écrit:Il faut quand même rappeler aussi que la reproduction des planches n'a rien à voir avec les éditions courantes : on y voit les niveaux d'encre, on comprend mieux le dessin. Il faut absolument ouvrir le livre pour ne pas passer à côté.
Perso, l'édition similaire de 2007 me suffira mais ça n'est en rien comparable à n'importe quelle autre édition.
L'Ombre Jaune a écrit:Pomponazzo a écrit:Je cerne pas vraiment où tu vois "tout un foin". Nouvelle édition de la Ballade, on en discute, on donne ou reçoit des infos, on se demande si ça vaut la peine de péter une Xième fois la tire-lire, voilà tout. Dans la bonne humeur si possible. Non ?
Ben voilà, on dit la même chose de manière différente, ce qui doit être possible sur ce type de forum : "tout un foin", c'est pour indiquer qu'il me semble vain de vouloir trancher entre les arguments des "contre" d'une part, et des "pour" d'autre part, à l'endroit de cette édition spéciale : celui qui est tellement passionné pour l'acheter aura, je l'espère, le respect de son droit à son addiction à l'endroit de sa passion surtout orientée vers la "forme", de la part des autres lecteurs de Corto Maltese.
En contrepartie, celui qui se concentre juste sur le dessin et la narration de Hugo Pratt et qui se satisfait des éditions anciennes et correctes, lui aussi a droit à un minimum de considération, lorsqu'il s'étonne du désir d'aucun de vouloir revoir à maintes reprises le même dessin, identique comme un clone, mais dans une multitude d'autres formes de reliure, de couverture, etc....
Donc oui, opposer les aficionados de l'édition rare aux passionnés rustiques de l'oeuvre de Pratt, c'est faire "tout un foin".
(et l'expression "tout un foin", n'est nullement en corrélation avec une présupposée mauvaise humeur. Ce que je dis reste dans le domaine de la bonne humeur aussi)
Le Tapir a écrit:...Et puis cette "édition" anniversaire, ne serait-ce que par le morceau de livre que c'est, rapporté au monument qu'est cette oeuvre, pose quand même quelques questions! A ce titre, je remercie vivement (ou pas d'ailleurs ) jfmal pour ses éclaircissements sur le contenu éditorial ! Je n'ai pas envie de prendre la place de l'inspecteur principal de la police chilienne ( il est passé ou celui là ? ) , et d'ailleurs je n'en ai pas les moyens, mais serait-il possible d'avoir le luxe, le confort, le plaisir et la surprise d'avoir une petite photo des deux éditions cote à cote ? Et puis comble du raffinement magnaco bédéphile, une photo ( aérienne en mode rase-motte) comparative des planches de deux éditions pour comparer ?
Pomponazzo a écrit:Mmhhh... La fièvre vénitienne, il y a des médecins spécialisés là-dedans.
Pas sereins, pas rendus non plus
Le Tapir a écrit: Après tu remarqueras que je n'ai pas parlé de mesure de cases, enfin, je n'ai pas osé allé jusque là, donc l'honneur, le tien, est sauf!
Pomponazzo a écrit:Puisque tu insistes, Tapir
Le bec du masque en question contenait du romarin, des clous de girofle, de la genièvre ou de l'ail, et souvent aussi une éponge imbibée de vinaigre ou d'huiles essentielles, des astuces qui remontent à l'antiquité. C'était assez efficace semble-t-il. A ma connaissance, pas de "narines" qui seraient d'ailleurs paradoxales, le masque visant à s'isoler de l'air ambiant. J'ai vu au Lazzaretto Nuovo à Venise un masque d'époque, point d'orifices outre ceux des yeux, qui étaient équipés de verres.
Tu as peut-être vu des ré-interprétations ultérieures de ce masque, il a eu du succès par la suite lors de carnavals et a souvent été détourné.
Je compte sur vous pour nous pardonner le hors-sujet
Alonzo Cabarez a écrit:Le Tapir a écrit: Après tu remarqueras que je n'ai pas parlé de mesure de cases, enfin, je n'ai pas osé allé jusque là, donc l'honneur, le tien, est sauf!
Ah ! Le double décimètre, le mètre étalon, le pied à coulisse, le bout de ficelle, la feuille de papier millimétré, les doigts de la main ou des pieds, etc... constituent autant d'instruments redoutables pour déterminer si on est en présence d'un indispensable (objet magique) ou d'un collector (factice par définition) si le critère retenu est la taille des cases.
Alonzo Cabarez a écrit:Voilà une trouvaille pour Casterman : proposer dans dix ans une édition avec un masque offert en gadget (comme à la grande époque de Pif gadget), avec clous de girofle, romarin, vinaigre et tutti quanti sans oublier sous forme de sceau un Pif version Arnal incrusté à l'intérieur pour authentifier le bouzin... Un collector très utile pour faire sensation au Carnaval de Venise...
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