Cinéma : les films en salle - 2009-2021

[Cooltrane]

Message précédent :
Nan, mais il y a des 10-aine de films qui me font fuir, surtout ceux qui font la part belle à l'action (baston & explosions à gogo), mais aussi le biopics sur le tennis (Borg, McE et BJ King pour l'instant),

Alors oui, les pitchs écrits reflètent rarement la réalité (sans doute pas moins que mes lignes à moi pour résumer le scénar du film sans spoiler) du film et trop souvent les BA montrées en salle ou sur les sites comme Cinenews ou UGC induisent parfois en erreur sur le contenu, car ils racolent en montrant les rares instants plus relevés du film.

Bref, une fois dans la salle, t'es un peu obligé d'assumer ton choix et subir le film.

[Cooltrane]

Bon, sortie avec une collègue suédoise (plutot canon) hier soir en Zoolande du nord

The Square: Production Suédo-Franco-Germano-Danoise, mais on ne le croirait pas: on n'y entend que du suédois et (un peu) de l'anglais. C'est d'autant plus déconcertant, que trois des 4 acteurs à l'affiche sont d'origine anglo-saxone (Moss, West et Notary). Le film aurait reçu une palme à Cannes. Un musée ex-royal se redéveloppe en musée d'art moderne en invoquant le carré comme symbole de son renouveau et dévoile sa volonté d'être à la pointe de la création artistique mondiale (forcément poseur, vide de sens, prétentieux, confinant à l'arnaque institutionnalisée), que ce soit dans l'art plastique, l'évènementiel, l'art conceptuel ou celui de la performance. On suit les tribulations l'équipe dirigeante mais surtout son directeur et les loufoqueries qui peuvent arriver dans la vie suédoise. La mise en place est très/trop longue (le film fait 2.5 heures) et l'on perd du temps à gogo dans des plans trop longs et mal filmés (plans fixes) et d'un intérêt assez moyen pour l'histoire en cours, il faut le dire... La deuxième partie est un peu plus enlevée (et mieux filmée, faut croire que l'expérience est venue en avançant durant la construction du film) et l'on croit percevoir qu'un des thèmes abordés et le courage/lâcheté et l'altruisme (à deux balles). .
Pour tout dire, on s'y emmerde beaucoup entre les rares plages drôles (dont une dispute entre le curateur et une journaliste/étudiante "ricaine" à propos d' une capote usagée et son destin), et pas mal de discussions autour des concepts artistiques volontairement flous passeront au-dessus du public moyen. L'autre scene forte (exploitée dans les affiches) est une "performance animale" dans une soirée de gala. Le coté satyrique (+/- annoncé dans la BA) de l'histoire m'ayant sans doute échappé dans samajeure partie, noyé dans une philosophie nordique qui me semble proche de la décadence et la démission. Aucun dépaysement à espérer, sauf pour la confirmation d'une société suédoise complexe et endormie, laissant le champ libre aux récalcitrants (le gosse voleur venant exiger des explications et excuses à sa victime qui a récupéré son smartphone et portefeuille) et activistes de tout poils. J'étais pas fort chaud pour aller voir ce film (le cinoche suédois m'ennuie), mais ma collègue a su être convaincante, et à la sortie, voyant mon manque d'enthousiame, elle a su se faire pardonner. 5.5/10

[Cooltrane]

Double shot hier soir:

Son choix:
Numéro Une : Houlààààà, sujet très à la mode depuis qqes semaines et susceptible de commencer un compte twitter #balancetonmachopourrave. En effet, on assiste au début du film à une réunion de chiennes de garde (apparentée, du moins) où l'on qualifie le mâle du mal. C'est d'un lourd et terriblement amalgamant, et franchement Tonie Marshall nous avait a bien mieux: ici, on est pas loin de la vaginocratie castratrice, quoi. Bon, le film s'améliore quand l'histoire se déroule et les personnages s'étoffent, même si l'on échappe pas trop aux clichés habituels. Luttes de (très-haut) pouvoir et complots anti-femmes, stratégies malhonnêtes où "sous la ceinture" (surtout du coté mâle-malin, comme par hasard, vous l'aurez compris). Bon question casting, l’héroïne Devos (ressemblant physiquement de plus en plus a Deneuve) orpheline de mère ya longtemps, mariée à un angliche (John Lynch) et mère d'une fille se retrouve épaulée par une armada principalement féminine contre une vilaine armée masculine menée par un Berry odieux mais distingué et une bande de charognards qui changent de camps au gré du vent. Le film tourne à un thriller financier typiquement français assez crédible, mais qui manifestement fait du gringue à la gente féminine (les 3/4 de l'audience) et fait pour leur donner un gros peps et une grosse dose d'espoir. Rien de pendable, mais c'est un film assez sexiste, même si personne n'osera le dénoncer de peur de se voir taguer de "faire le réac". 7.5/10


Mon Choix:
Zagros: Production Flamando-Belgo-Kurdedans laquelle Marion Hänsel est présente. Le Kurdistan Turc profond, dans un village tout près du Mont Zagros, un berger du même nom est marié une à une femme étonnamment libre, père d'une gamine (et bientôt d'une deuxième progéniture. Bien sûr, dans ce genre de village, les traditions archaïques et ragots sont légions, et finissent par tomber autour de "l'étrangère", suspectée d'être une salope, etc... Voyant les choses empirer et sa vie menacée pour des questions d'honneurs (mal placés évidemment), elle prend la fuite avec sa fille avec l'aide se sa sœur milicienne kurde cachée dans la montagne, et se retrouve non à Istanbul comme initialement prévu, mais à Bruxelles, auprès d'un cousin et une communauté kurde et turque importante. Le père et mari vient la rejoindre et patriarche en "déshonneur" suivant par après. La (superbe) partie kurde du film est trop rapidement finie (àmha) et s'engage la vie "civilisée" dans un Bruxelles assez gris (côté flamand), où le drame familial continue et le crime d'honneur guette. Le film est fait par un ex-illégal et s'il n'est pas auto-biographique, il est très inspiré de situations réelles (même si on est dans une fiction), ce qui rend le film particulièrement poignant, car les acteurs sont foutrement bons, ce qui lui a valu très méritoirement le prix du festival du film de Gand. Bon, le scénario n'est pas extraordinairement original et la chute prévisible, mais le suspense est entretenu et reste poignant jusqu'à la fin. By the way, les femmes kurdes sont belles - dans le film, du moins.7.5/10

[Morti]

Et dans le genre bien moisi y a le Géostorm qu'on a emmené voir les jeunes du boulot: uberamericain à en vomir, plein de mauvaises idées et d'effets spéciaux fatiguant, une distribution à l'emporte pièce qui rivalise de cabotinage, le tout avec un fantôme de scénario qu'on croirait écrit par sorti du logiciel de création de Besson...

Bref, le degré zéro du cinoche pop corn ricain

Bon...c'est fait...je l'ai vu...j'ai perdu 1h30 de ma vie...

C'est pas faute d'avoir été prévenu mais comme je disais plus haut, je suis très bon public et j'aime bien ce genre de film à priori (j'ai quand même vu 5 fois Independence Day...hein...ça calme, ça... ) mais là...ah la vache...
Comme quoi avec le temps, il faut relativiser et se dire qu'on peut toujours faire plus mauvais.

Sauf que là c'est pas que c'est mauvais, c'est raté ET très très mauvais...

En fait il n'y a RIEN à sauver...ni l'histoire (du déjà vu, revu et re-revu) ni le casting (ils devaient avoir faim) ni les Fx (ils testaient un nouveau logiciel sur Atari 800 ?) ni le montage (le monteur était en vacances, c'est son neveu qui l'a fait) ni même le rythme (on dirait un disque de funk qui tourne en 16 tours)...rien je vous dis...
Tous les clichés sont présents...ils ont même osé le coup du chien...

Et vu qu'ils se prennent au sérieux, on ne peut même pas parler de second degré...Butler s'y croit réellement.
Qu'est-ce que Ed Harris et Andy Garcia sont venus foutre la-dedans ???

S'ils voulaient faire un film sur le contrôle de la météo, SOS Météores était là...Jacobs avait fait bien mieux il y a 60 ans !!!

Fuyez ce film de toutes vos forces...

[nexus4]

Je ne connais pas assez l'humour de Jul pour savoir si c'est du foutage de gueule ou non.
"Rabbi Jacob aura une suite, je suis en train de l'écrire : ce sera Rabbi Jacqueline !"

...

https://twitter.com/franceinter/status/ ... 9224227840

[logan1973]

c'est vrai, c'est la veuve de Gérard Oury qui a lancé le projet

[nexus4]

Michelle Morgan ?

[Brian Addav]

je crois qu'il voulait parler de sa fille, qui avait coécrit le premier...

[jolan]

Danièle Thompson ?

[LEAUTAUD]

BRIO, film d'Yvan Attal.
J'y suis allé pour deux raisons, je voulais voir Daniel Auteuil en prof de fac réac, et pour le thème ( la culture bourgeoise comme vecteur d'intégration d'une étudiante reubeu).
Pas déçu, bon film, aux dialogues percutants, et une dernière partie qui sait éviter la facilité qu'offrait le scénario (l'héroine gagnera t-elle la finale du concours d'éloquence ? Je ne vous le révèle pas bien sûr)
Auteuil est excellent dans le cynisme que requiert son rôle de prof d'université raciste et brillant.
Attal s'en tire bien sur un sujet à risques dans le contexte actuel.

[edgarmint]

C'est un film que je devrais aller voir prochainement... As-tu vu le documentaire "A VOIX HAUTE - LA FORCE DE LA PAROLE" ? Parce que sur ce sujet, c'est très fort.

[Cooltrane]

Double shot hier soir:

Son choix:
Le Brio: de Attal... P'tain d'Yvan de saloperie de ta race.... Puisque tu te permets d'introduire de tels mots dans les académies, j'en profite. Franchement, il y avait de la matière, mais t'es complètement passé à coté de ta cible. En premier, j'ai trouvé les dialogues moyens et les débats contradictoires de compète relativement pauvres et surtout peu inspirés. Secundo, Luchini n'était pas libre?? Car franchement Auteuil réussi le minimum syndical, mais pas grand chose de plus. Et il ne fallait pas être devin pour le savoir. Alors qu'avec le Fabrice, c'était du tout cuit. Tertio: avec le nombre de "beurettes" en France, t'aurais pas pu en trouver une vraie, plutôt que de nous sortir une autre que Camélia Jordana, certes très mignonne, et bonne actrice dans ce rôle-ci, mais franchement l'occasion de tirer une véritable Neïla de sa banlieue pourrie était à ta portée.
Mauvais ton film, mon pote? Bon pas vraiment, mais t'as manqué d'inspiration. C'est un peu dommage, car tu nous avais habitué a bien mieux et je te suis depuis Un Monde Sans Pitié (ouaip, bientôt 30 ans). Bref, ajd, c'est le chroniqueur qui est sans pitié. Allez, je te met un 6/10.

Mon choix:
Thelma: Thriller fantastique norvégien de Joachim Trier, pourtant plus habitué à Cannes que le FFF de Bxl.. Une fille devenue unique parvient à s'éloigner de ses parents bigots et étouffant qui l'ont élevé en rase campagne en arrivant à Oslo pour étudier la biologie à l'unif. Une nouvelle vie commence avec les contacts estudiantins et les soirées (alcool et taffe) et surtout une belle nana qui lui fait des avances et elles finissent par tomber amoureuses l'une de l'autre. Tout irait pour le mieux, si Thelma ne subissait de très inquiétantes crises qui ressemblent à deux gouttes d'eau à l’épilepsie. Il se trouve que c'est qqe chose de bien plus inquiétant, et a des origines surnaturelles, qui a pris racine dès son plus jeune âge. La tension est en augmentation constante, mais heureusement le gore n'arrive jamais. Les parents (+/- au courant de la maladie) veillent au grain de loin, mais on devine qqes heures de train ou voiture pour venir surveiller sa progéniture. Le film dérape donc dans le surnaturel ou tout n'est pas expliqué, mais on reste dans un softcore, surtout au vu des récentes productions scandinaves de ces dernières années. Les acteurs sont bons, les paysages un peu surprenants (n'attendez pas de fjords et d'églises Stavkirke), et donc dépaysement inattendu. 7.5/10

[nexus4]

Ah tiens, y aurait un Star Trek dans les tuyaux par Tarantino.
Patrick Stewart se dit intéressé, mais on est pas à l'abris d'avoir les Fatals Picards en bande annonce.

[Cooltrane]

un autre double shot:

Son choix:
Les Gardiennes: (de Beauvoisr ). Encore un film voué à la cause féminine, nous décrivant les rôles des femmes tenant l'économie du pays tandis que les hommes se battent entre eux. Un film réunissant la mère et la fille dans une ferme où il ne reste que le vieux patriarche moitié handicapé pour porter des pantalons. Un manque de main d’œuvre lors des moissons arrive et l'on fait appel à une ouvrière (éduquée) qui logera dans une ferme voisine. Beauvois, une fois de plus, filme tout en longueur et parvient à transformer une histoire de 85 minutes en 2h15. On se demande s'il y aura encore des scènes coupées au montage dans les bonus du DVD.Sinon, Baye ose les cheveux gris et sa fille se fait voler la vedette par une inconnue Iris Bry, dont on voit que c'est son premier rôle - sans que ce soit un avis négatif. Niveau scénar, on est dans du classique (adaptation d'un roman), et les décors champêtres sont ravissants, mais j'ai failli rejoindre les deux ou trois ronfleurs dans la salle, mais c'est plus la quiétude de la campagne française qu'un manque d'évènements. 7/10 -1 pour les longueurs


mon choix: ayant loupé mon premier choix (Plonger), j'ai me rattraper sur...
Les Tueurs: Un polar politique série B faisant appel aux évènements qui ont secoué la Belgique du début des 80's, pour installer le contexte de cette histoire assez sanglante, mais évitant le gore. Un évadé replonge dans le monde des casses, et attaque avec ses complices un fourgon blindé mais se fait pigeonner dans un traquemard en vue d'éliminer un juge fouille-merde. Un casting belgo-belge mettant face à face Lammers en flic et un Gourmet poignant en truand. Niveau nana, le retour d'Azabal (en fliquette) dans le cinoche belge, et une apparition trop courte de Natacha Reigner, le tout arbitré par le flamand Janssens en imprévisible perturbateur. Le film fera le plein dans son pays, mais l'intrigue (plutôt crédible) est sans doute trop nationale pour espérer accrocher une audience internationale, malgré un rythme haletant et une série de cascades inhabituelles pour un budget modéré (série B). Filmé à Bruxelles (dont une scène dans la rue de votre chroniqueur attitré) et Charleroi, peu de dépaysement, mais le film fait penser au récent Le Fidèle dans son style de narration et une patte typiquement belge de filmer. 7.5/10

[Brian Addav]

Les Tueurs du Brabant... ça rappelle pas des bon souvenirs ça.
On a toujours pas trouvé qui c'était au fait ?

[Cooltrane]

Les Tueurs du Brabant... ça rappelle pas des bon souvenirs ça.
On a toujours pas trouvé qui c'était au fait ?

il y a deux ou trois mois, ils en ont retrouvé un, mais qqes mois après sa mort,... André le géant.... c'était un gendarme. Sinon, ils ont retrouve certaines armes dans un canal aussi

Cette histoire, c'est clair que c'est aussi tordu que le scénar du film

Par contre, le film est indépendant du retour au devant de la scène du dossier et ses dernières révélations, mais cela tombe +/- bien pour sa carrière

[Brian Addav]

c'étati carrément flippant comme histoire oui.

[LEAUTAUD]

C'est un film que je devrais aller voir prochainement... As-tu vu le documentaire "A VOIX HAUTE - LA FORCE DE LA PAROLE" ? Parce que sur ce sujet, c'est très fort.

Pas vu, mais je le ferai , c'est pile sur le sujet, merci

[Bdazur]

Bienvenue à Suburbicon
Derrière une certaine artificialité assumée, le nouveau film de George Clooney nous fait découvrir la face cachée d’une Amérique "blanche" idyllique où le mal ne naît pas de là où ses habitants aimeraient le voir.
une famille afro américaine qui s'installe dans un zone pavillonnaire des années 50 provoque des tensions disproportionnées et ou les victimes de ce racisme se retrouvent voisins d'une réalité bien macabre et cachée. deux destins croisés trés bien réalisé, on ne s'ennuie pas une minute (très bon film pour peu qu'on y apprécie sa trame policière et son humour noir propre aux coen=

Réalisateur : George Clooney et scénario Les frères Coen
Acteurs : Matt Damon, Julianne Moore

[Cooltrane]

Double shot hier soir (dans des salles à écran taille de snooker ... enfin presque)

Son choix:
La Villa: le énième film de Guédiguian et ses "usual suspects" (ya qd mm un ou deux visages frais) et sa région d'élection. On est dans une calanque peu touristique où des gens modestes (et cocos, on s'en douterait bien) réussissent encore à y vivre. Le patriarche vient de faire un infar dont il ne se remettra jamais (dixit le jeune médecin ex-polétariat) et l'on (le notaire que l'on ne ferra jamais) rabat le clan un peu éparpillé pour voir la suite des événements. Un Guédiguian ainé qui reprends le resto (avec prix démocratique), une Ascaride devenue diva des planches et un Darroussin incisif ancien 68-hard sur les barricades et devenu directeur fraichement viré et sa poulette étudiante presque trois plus jeune que lui. On est en terrain connu et peu de surprises (sauf p-ê une ou deux réparties de Darroussin), la nature environnante est belle (sans être carte postale) et les dialogues sont souvent prévisible (surtout envers les soldats devenus garde-cotes), même si un truc bien actuel vient briser la monotonie. La bouillabaisse et la rouille prennent forme sans être trop cucul, mais on évite pas toujours le Guéguignangan, parfois pas loin du radotage à force de ne pas renouveler son propos. 7/10, car on aime encore, malgré les redites.

Mon choix:
Plonger: de Mélanie Laurent dont c'est le troisième film en tant que réalisatrice, je crois. Un journaliste avec un passé lointain de baroudeur (César pour les intimes) rencontre une jeune photographe/artiste espagnole (Paz interprétée la délicieuse Maria Valverde) à velléités journalistique, et c'est le grand amour. Bien vite la jeune femme se retrouve incarcérée dans sa grossesse et maternité, qui la prive de ses envies de libertés. La première partie du film est un peu claustrophobe une fois passé les présentations et la mise en place. Une fois la jeune maman "évadée" (abandonnant progéniture et sans donner de nouvelles), le film bascule dans un Moyen Orient maritime (d'où le titre) mais en dehors d'un ou deux flashback, c'est Lellouche qui règne en maitre absolu sur l'histoire (c'est le scénario qui le veut) même si les superbes décors Omanesques (bien qu'au début on parle du Yémen d'Aden) aide pas mal. Lellouche séduit et énerve parfois, mais on regrette l'absence de sa partenaire autrement qu'en fantasme. Difficile de ne pas être touché par la fin Grand Bleu-esque, mais le film n'est pas un long fleuve tranquille dans sa narration. 7.5/10 quand même

[Bdazur]

Santa & Cie

Un bon fil détente:
Noël !
Face à la frénésie commerciale, Alain Chabat nous livre sa version de l’esprit de noël.
Y suis allé avec un enfant de 5 ans et je pense que tout le monde y trouve son conte
un univers magique et bien bourré de trouvailles avec lutins et fafrique à jouets et plein d'autres petits plus et bien sûr ce ton décalé d'un chabat qui est une valeur sûre. Son film familial ravira petits et grands sans rester non plus une oeuvre majeure de chabat.