Titre Fenetre
Contenu Fenetre
Connexion
  • Se souvenir de moi
J'ai oublié mon mot de passe

Ciné-Club séance 83 Two Weeks in Another Town (Minnelli 62)

La politique, la musique, le cinéma, les jeux vidéos et la culture en général lorsqu'elle ne traite pas directement de bande dessinée

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede euh... si vous le dites » 13/03/2020 10:13

Message précédent :
jolan a écrit:https://www.opensubtitles.org/fr/search/imdbid-50976/sublanguageid-fre/moviename-le%20septi%C3%A8me%20sceau

Ce serait bien le comble si aucune de ses 10 versions ne correspondait



Non non, je ne parlais pas pour Le septième sceau.
Pas de problème pour choper des sous-titres français pour celui-là.

Je parlais dans l'absolu.
En fait, je suis en train de réfléchir à une prochaine séance et je sais que j'ai peu de chance de trouver des sous-titres français pour certains films auxquels je pense.
"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère."
Denis Johnson - "Arbre de fumée"
euh... si vous le dites
BDGestiste Confirmé
BDGestiste Confirmé
 
Messages: 7781
Inscription: 14/06/2018

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede arcarum » 13/03/2020 14:27

j'utilise bs player
quand tu lances un films, il cherche dans 3 bases de donnée, le sous titre le plus adapté au film

à la limite, si tu nous donne le nom de film, on peut peut être t'aider à chercher.
Avatar de l’utilisateur
arcarum
BDévore
BDévore
 
Messages: 2262
Inscription: 11/07/2008
Localisation: Là Haut, tout Là Haut !

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede euh... si vous le dites » 13/03/2020 16:08

arcarum a écrit:j'utilise bs player
quand tu lances un films, il cherche dans 3 bases de donnée, le sous titre le plus adapté au film

à la limite, si tu nous donne le nom de film, on peut peut être t'aider à chercher.



Merci, mais ce n'est pas ma question. ;)
"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère."
Denis Johnson - "Arbre de fumée"
euh... si vous le dites
BDGestiste Confirmé
BDGestiste Confirmé
 
Messages: 7781
Inscription: 14/06/2018

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede jolan » 13/03/2020 17:54

Bon, eh bien moi ça ne me dérangerait pas s'il n'y avait que des sous-titres en anglais
Tout dépend d'où l'on se place par rapport à l'idée qu'on s'en fait.
Avatar de l’utilisateur
jolan
Expert BDGestiste
Expert BDGestiste
 
Messages: 13916
Inscription: 04/05/2003
Localisation: Sotteville-lès-Rouen
Age: 49 ans

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede sergent latrique » 13/03/2020 18:13

Sous-titre en anglais ça me va aussi (même sans sous titre si c'est pas trop argotique ou too much british)
Halte au massacre Organisasi Papua Merdeka
Avatar de l’utilisateur
sergent latrique
BDGestiste
BDGestiste
 
Messages: 3231
Inscription: 20/11/2003
Localisation: Paris, France

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede euh... si vous le dites » 13/03/2020 20:04

sergent latrique a écrit:Sous-titre en anglais ça me va aussi (même sans sous titre si c'est pas trop argotique ou too much british)


Ouais mais là, ce serait pas pour des films en anglais, alors sans sous-titres du tout, ça va pas le faire...
"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère."
Denis Johnson - "Arbre de fumée"
euh... si vous le dites
BDGestiste Confirmé
BDGestiste Confirmé
 
Messages: 7781
Inscription: 14/06/2018

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede jolan » 13/03/2020 20:56

J'ai des notions de ouzbèke si ça peut servir :D
Tout dépend d'où l'on se place par rapport à l'idée qu'on s'en fait.
Avatar de l’utilisateur
jolan
Expert BDGestiste
Expert BDGestiste
 
Messages: 13916
Inscription: 04/05/2003
Localisation: Sotteville-lès-Rouen
Age: 49 ans

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede sergent latrique » 14/03/2020 13:34

Oui, sans sous titre, c'est pour les film en anglais (limite en italien) ou les films muets sans intertitre :D

Sinon, je viens de voir le septième sceau, je n'ai pas encore mis en place mes réflexions pour poster, mais je dois dire qu'un film avec en arrière-plan une épidémie de peste au moyen-âge, c'est un hasard qui tombe totalement dans l'air du temps.
Halte au massacre Organisasi Papua Merdeka
Avatar de l’utilisateur
sergent latrique
BDGestiste
BDGestiste
 
Messages: 3231
Inscription: 20/11/2003
Localisation: Paris, France

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede sergent latrique » 14/03/2020 20:38

Le septième sceau (Det sjunde inseglet) I.Bergman (1956)

Au moyen-âge, à la période des croisades (je dirais XII° début XIII°, je n'en connais pas assez sur le sujet mais je me demande s'il n'y a pas un mélange d'époque avec les épidémies de peste et les procès de sorcières qui sont plus tardifs) un chevalier et son écuyer reviennent en Suède après de longues années de croisades. Le chevalier Antonius Block est tourmenté par des questions métaphysiques autour de Dieu et va jouer une partie d'échec avec la mort rencontrée sur la grève pour obtenir des réponses au sens de la vie. La mort accepte son marché et le laisse vivre tant que durera le jeu en lui promettant la liberté s'il remporte la partie. Le pays est ravagé par une épidémie de peste et en chemin ils vont recontrer plusieurs personnes qui vont finir par les suivre, une troupe de saltimbanques itinérants qui amusent les villageois
par des tours ou des pièces allégoriques, une femme esseulée dans un village désertée sauvée par l'écuyer, un forgeron cocufié par l'autre acteur de la petite troupe et la femme du forgeron.
Malgré toute la ruse dont il est capable et la droiture de son attitude, le chevalier finira par être vaincu par une mort
qui ne lui délivrera aucun secret sur le sens de la vie ou de la mort.

Le chevalier Antonius Block dans sa quête incessante de Dieu semble subir toutes les péripéties comme des épreuves et il échoue dans sa quête, auprès de la mort mais aussi dans le sens de ce qu'il rencontre sur son chemin comme lorsqu'il tente d'obtenir des réponses en questionnant une jeune femme condamnée pour sorcellerie et finalement brûlée.
L'écuyer, Jons, en contrepoint n'est tourmenté par aucune recherche spirituelle. Pragmatique, emprunt de scepticisme, il règle simplement et de façon brutale la vie sur terre que ce soit face à la mort, aux brigands et à l'au dela où il ne voit que le néant, se contentant de profiter de la vie rude et de la justice qu'il peut rendre.
Les saltimbanques à l'image donnent eux une image de fraîcheur, d'espérance, de simplicité, de joie de vivre en famille au contact de la nature et des jeux de l'esprit et de l'art.
Jof et Mia et leur jeune enfant sont comme une sorte de famille sainte et Jof a des visions de la vierge Marie et de l'enfant Jésus comme une transposition du tryptique Jesus Marie Joseph (les noms sont assez proches)

Avec le septième sceau, on est loin, très loin d'un cinéma de super production à l'américaine et en technicolor, avec effets spéciaux et cascades et je peux comprendre que cette ambiance de noir et blanc, cette austérité de décors, de dialogues mystiques puissent rebuter au premier abord mais j'ai beaucoup apprécié au final cette simplicité, presque cette pureté dans l'image et les dialogues car autant certaines scènes sont graves et austères ( vision mortifere des autorités religieuses lors de la scène du chemin de croix et de la flagellation avec une population terrorisée par la peur de la peste et sous l'emprise de religieux fanatiques), autant l'ambiance peut devenir simple et naturelle avec ces personnages entiers presque naïfs des saltimbanques, que ce soit au village, dans la roulotte (la scène du réveil avec la délicieuse Bibi Andersson vaut toutes les scènes de films romantiques).
Ce couple de saltimbanque donne une image très rafraichissante d'une vie tournée vers un épanouissement sans mystère, une roulotte, un enfant qui nait et un contact avec la nature dans des joies simples.

La fin montre une séparation des chemins entre les acteurs qui malgré le danger (forêt sombre et orage) va échapper à la mort et le chevalier entraînant dans les murs solides de son château ses gens vers la mort qui finit toujours par l'emporter.


Je ne connaissais pas ce film et je m'attendais presque à un pensum même si j'avais envie de le découvrir.
Résultat : note de 4.5/6
Halte au massacre Organisasi Papua Merdeka
Avatar de l’utilisateur
sergent latrique
BDGestiste
BDGestiste
 
Messages: 3231
Inscription: 20/11/2003
Localisation: Paris, France

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede jolan » 15/03/2020 23:05

Le Septième Sceau – Ingmar BERGMAN – 1957

Bergman, un cinéaste dont je ne sais pas grand chose (j'ai seulement vu ce film lorsque j'étais adolescent et que j'étais très friand de cinéma d'auteur, et croisé quelques références dans les premiers Woody Allen, ou chez mon cinéaste de chevet Andrei Tarkovski. J'avais aussi acheté quelques DVD il y a une quinzaine d'années, mais jamais regardés), mais je sais qu'il est indispensable que j'en vois et en sache davantage, qu'il est essentiel au cinéma de la deuxième moitié du siècle dernier. C'est pourquoi lorsque j'ai appris la nouvelle de la mort de Max von Sydow j'ai proposé cette séance spéciale, c'était une bonne occasion je pense.

Bref, donc j'ai revu ce film, et cette fois-ci avec plaisir. Parce que le film est beau.

Evidemment ce qu'il donne à voir n'est pas glorieux : le spectacle des hommes face à l'épidémie de peste noire, à la religion, à la mort, aux femmes, à leurs semblables, et donc à leurs propres peurs, n'offre que peu de répit et de foi en cette race si singulière, mais on a l'habitude, et heureusement nous sommes presque sortis d'un moyen-âge de fables et de croyances idiotes.
Mais surtout le film m'a plu par la qualité de sa construction, de ses dialogues, de sa quête spirituelle, ou athée (je me suis totalement reconnu dans le personnage de l’écuyer, que je prends pour le plus sage de tous, revenu athée des Croisades, débarrassé de ces fausses certitudes), et sa belle esthétique en N&B symboliste (la première séquence, sur la plage, magnifique, est juste gâchée par un montage en superpositions qui ne sont pas du meilleur effet)

Le spectacle ai-je dit, car on assiste au triste spectacle des hommes, la farce, le théâtre de la vie, puisque tout n'est que jeu et duperies : la partie d'échecs d'Antonius Block avec la Mort, ce spectre de la Mort qui se joue du Chevalier en se déguisant sous l'apparence du prêtre qui le confesse, d'une certaine façon aussi le jeu de l'art – la scène dans l'église - qui travestit la réalité pour mieux la montrer, la comédie de vengeance lorsque le forgeron retrouve sa femme Lisa/Cunégonde (son amant d'une nuit l'a même rebaptisée à son goût, elle n'est qu'un corps de passage) et l'acteur qui s'étaient enfuis dans la forêt et que ce dernier singe son propre suicide. « L'amour est la plus noire de toutes les pestes » lui disait Jöns l'écuyer dans l'auberge.

La peur rend les hommes fous, la croyance en dieu et la superstition les rend avides et violents, les femmes sont violées, brûlées sous prétexte de sorcellerie ou de commerce de sexe avec le diable, ou encore réduites à l'esclavage. Antonius, qui revient des Croisades, cherche un sens à toute cette violence au nom de Dieu, à ces massacres au nom du divin face à un autre divin, il se sait condamné depuis la première scène sur la plage, et tout le long du film il questionne, il veut savoir ce qu'il y a après la mort, il reflète le questionnement métaphysique au cœur du film. Mais la réponse est derrière lui, à son service, dans la bouche de son serviteur : « que voit-elle ? Dieu ? Le diable ? Le néant. »

Le message de Bergman semble être que seul l'amour permet de lutter contre le néant, tout au moins de l'amoindrir en l'oubliant grâce à l'amour véritable. Le moment de partage des fraises sauvages (clin d'oeil, plus qu'à voir le film) et de la rencontre avec le jeune couple heureux et amoureux semble convaincre Antonius et achever sa quête, la réponse serait la foi en l'humain, qui contient aussi le bien. Je ne comprends pas trop pourquoi il laisse toute cette joyeuse bande le suivre, puisqu'il sait qu'il a perdu la partie, mais soit, sans doute ne veut-il pas mourir seul. Car seul sera sauvé le couple d'innocents, l'acteur enfantin et naïf (comédien sympathique mais qui ne sait ni jongler ni faire semblant de jouer d'un instrument) qui a des visions mystiques, et sa jeune femme toute en blancheur, la pureté même, l'innocence faite femme, et leur petit garçon nu comme les blés. Sauvés par qui ? Par Dieu ou par Bergman ? Ici ce sera la même chose. L'artiste est son propre Créateur.

Un beau film donc, un chef d'oeuvre de cinéma symboliste et métaphysique, magnifié par une très belle photo. Mais il y a aussi quelques scènes un peu bancales qui tombent un peu trop dans la pantalonnade, sans doute pour ne pas plomber tout le film et amener un peu de drôlerie, j'ai trouvé ça dommage, bêta. Un bel objet cinématographique, donc noté au-dessus de la moyenne.

Sinon, par rapport à la séance spéciale, Von Sydow joue bien, il avait une belle voix, une belle prestance, on se souviendra surtout de lui plus âgé, mais ce rôle lui va très bien, peut-être d'autres rôles dans des Bergman plus réalistes lui allaient davantage, je vérifierai ça quand je m'y mettrai.

Et les actrices sont belles. Ca donnerait presque envie d'aimer...

4/6


(merci à Euh pour la belle version ;) , j'en avais une vieille qui m'aurait bien gâché le visionnage, il faut juste remplacer les sous-titres parce que ceux-là étaient particulièrement ratés - si vous ne l'avez pas encore vu choppez les bons dans le lien que j'avais donné plus haut, ceux de janvier 2019)
Tout dépend d'où l'on se place par rapport à l'idée qu'on s'en fait.
Avatar de l’utilisateur
jolan
Expert BDGestiste
Expert BDGestiste
 
Messages: 13916
Inscription: 04/05/2003
Localisation: Sotteville-lès-Rouen
Age: 49 ans

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede sergent latrique » 16/03/2020 13:44

Hier, j'ai visionné les fraises sauvages (en VF), le flm suivant de Bergman avec Victor Sjöström en rôle principal et des acteurs récurrents de Bergman (Andersson, Max V Sydow ). Thème et époques totalement différents, mais on sent bien la patte de Bergman. Les scènes de rêve, la première surtout sont bien menées, mais j'ai largement préféré le septième sceau.
Halte au massacre Organisasi Papua Merdeka
Avatar de l’utilisateur
sergent latrique
BDGestiste
BDGestiste
 
Messages: 3231
Inscription: 20/11/2003
Localisation: Paris, France

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede arcarum » 17/03/2020 18:18

Le septième sceau Igmar Bergman

Encore une fois une découverte que ce cinéma exigeant, précis.

Je suis resté coi par cette première scène où la mort vient jouer aux échecs, ou plutôt ce jeu de dupes qu'elle s'amuse à mener contre un chevalier fort de son fait et de sa position. J'avais vu certaines parodies, mais je n'en connaissait pas la provenance.

Tout ce film m'a semblé marqué du sceau des oppositions
la mort, la vie
la joie des troubadours, la tristesse de la manifestation religieuse au sein du village
la beauté de l'église et la laideur des représentation du fléau de la peste dans cette église
le chevalier riche, les troubadours pauvres
la musique extradiégétique lourde, pesante, la musique intradiégétique très souvent exprimant enjouée, rythmée, agréable.

Une belle réalisation

Les acteurs dans leur jeu sont aussi liés à cette opposition des caractères avec l'illumination solaire de Bibi anderson et le visage ferme et rude de Max von Sydow
Vraiment un belle mise en scène.

Très belle mise en scène.

beau film, nécessitera un second visionnage.
4/6
Avatar de l’utilisateur
arcarum
BDévore
BDévore
 
Messages: 2262
Inscription: 11/07/2008
Localisation: Là Haut, tout Là Haut !

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede jolan » 17/03/2020 19:58

Bien parti pour se voir attribué une belle note pour l'instant...
Un film qui semble nous mettre tous d'accord.

Bon, qui pour présider la prochaine séance ?
Je m'immisce subrepticement ou je laisse le tour à Arcarum ?

Ou une séance spéciale Suzy Delair (courte liste avec les bons films des années 40) ?
Tout dépend d'où l'on se place par rapport à l'idée qu'on s'en fait.
Avatar de l’utilisateur
jolan
Expert BDGestiste
Expert BDGestiste
 
Messages: 13916
Inscription: 04/05/2003
Localisation: Sotteville-lès-Rouen
Age: 49 ans

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede lobo » 17/03/2020 23:02

Je ne peux pas télécharger en ce moment et pendant la durée du confinement. Ne m attendez pas.
Avatar de l’utilisateur
lobo
BDGestiste
BDGestiste
 
Messages: 2736
Inscription: 08/08/2008
Localisation: Hauts-de-France

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede arcarum » 17/03/2020 23:36

jolan a écrit:Je m'immisce subrepticement ou je laisse le tour à Arcarum ?

Ou une séance spéciale Suzy Delair (courte liste avec les bons films des années 40) ?

je veux bien préparer une liste, mais j'ai proposé la séance précédente (les lubitsch)
Avatar de l’utilisateur
arcarum
BDévore
BDévore
 
Messages: 2262
Inscription: 11/07/2008
Localisation: Là Haut, tout Là Haut !

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede euh... si vous le dites » 18/03/2020 00:21

arcarum a écrit:
jolan a écrit:Je m'immisce subrepticement ou je laisse le tour à Arcarum ?

Ou une séance spéciale Suzy Delair (courte liste avec les bons films des années 40) ?

je veux bien préparer une liste, mais j'ai proposé la séance précédente (les lubitsch)


Je veux bien une séance Suzy Delair.
Excepté quelques rares exceptions, je n'ai pas la moindre affinité avec le cinéma français de cette époque donc ça serait une bonne occasion de peut-être réviser mon impression.

Bon sinon, je vais essayer de voir le Bergman demain.
"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère."
Denis Johnson - "Arbre de fumée"
euh... si vous le dites
BDGestiste Confirmé
BDGestiste Confirmé
 
Messages: 7781
Inscription: 14/06/2018

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede jolan » 18/03/2020 06:16

Bon, je propose - si ça vous tente tous - une séance spéciale Suzy Delair années 40.

1941 : Le Dernier des six de Georges Lacombe
1942 : L'assassin habite au 21 d'Henri-Georges Clouzot
1942 : Défense d'aimer de Richard Pottier
1945 : La Vie de bohème de Marcel L'Herbier
1947 : Copie conforme de Jean Dréville
1947 : Quai des Orfèvres d'Henri-Georges Clouzot
1948 : Par la fenêtre de Gilles Grangier
1949 : Pattes blanches de Jean Grémillon
1950 : Lady Paname d'Henri Jeanson
1950 : Souvenirs perdus de Christian-Jaque

J'ai volontairement omis les années 50 et les comédies avec Fernandel ou Bourvil, mais vous pouvez en rajouter si bon vous semble.
Tout dépend d'où l'on se place par rapport à l'idée qu'on s'en fait.
Avatar de l’utilisateur
jolan
Expert BDGestiste
Expert BDGestiste
 
Messages: 13916
Inscription: 04/05/2003
Localisation: Sotteville-lès-Rouen
Age: 49 ans

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede Brian Addav » 18/03/2020 08:55

ça me gonfle de ne pas pouvoir participer par manque de temps [:bdgest]

(si vous ne l'avez pas vu, Copie Conforme avec l'immense Jouvet est très intéressant formellement parlant comme ils disent :D )
Avatar de l’utilisateur
Brian Addav
Fournitures de bureau
Fournitures de bureau
 
Messages: 54196
Inscription: 13/09/2005
Localisation: Chia-Yi, Taiwan
Age: 49 ans

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede arcarum » 18/03/2020 09:04

je vais suivre le conseil de l'ami Brian qui semble malheureux de ne pas être en France en ce moment ;)

Copie conforme
Avatar de l’utilisateur
arcarum
BDévore
BDévore
 
Messages: 2262
Inscription: 11/07/2008
Localisation: Là Haut, tout Là Haut !

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede Brian Addav » 18/03/2020 09:21

Brian il est malheureux d'être en France justement :grrrr:

[:kusanagui:6]
Avatar de l’utilisateur
Brian Addav
Fournitures de bureau
Fournitures de bureau
 
Messages: 54196
Inscription: 13/09/2005
Localisation: Chia-Yi, Taiwan
Age: 49 ans

Re: Ciné-Club Séance 27 : Le Septième Sceau 1956

Messagede jolan » 18/03/2020 17:02

3 : Lady Paname d'Henri Jeanson
2 : Copie conforme de Jean Dréville
1 : Pattes blanches de Jean Grémillon
Tout dépend d'où l'on se place par rapport à l'idée qu'on s'en fait.
Avatar de l’utilisateur
jolan
Expert BDGestiste
Expert BDGestiste
 
Messages: 13916
Inscription: 04/05/2003
Localisation: Sotteville-lès-Rouen
Age: 49 ans

PrécédenteSuivante

Retourner vers Le bistro

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 0 invités