
jxmckie a écrit:c'est fou il a un casier long comme le bras et RAS pas renvoye chez lui. Il fait le con en s'allumant une clope et zou retour a la maison. Mais ce n est pas possible ils font tout pour que le FN passe aux prochaines elections

Mirdhynn a écrit:
Et je n'en rajoute pas sur le fait que l'on continue a décerner des titres de séjour à un mec comme ça alors qu'il avait ce genre de CV.

Paris : deux hommes interpellés, l’un avec 10 millions d’euros de bijoux dans son slip

Olaf Le Bou a écrit:Les expressions françaises illustrées par l'exemple : aujourd'hui, les bijoux de familleParis : deux hommes interpellés, l’un avec 10 millions d’euros de bijoux dans son slip
https://www.leparisien.fr/faits-divers/ ... K7ADOE.php



Comment un meurtre au festival Burning Man a transformé le désert en gigantesque scène de crime
L'identité de la victime, un homme blanc âgé de 35 à 40 ans, mesurant environ 1,83 m pour 90 kg, reste à ce jour inconnue



Une femme qui avait visiblement fait usage de substances intoxicantes juste avant d’entrer en salle d’audience a admis une troisième infraction de conduite avec les capacités affaiblies au palais de justice de Sherbrooke, mercredi.
«En 13 ans de banc, je n’ai jamais vu une situation semblable», a réagi la juge de la Cour du Québec, Claire Desgens.
Chambranlante et les yeux vitreux, la femme a eu besoin de l’aide des constables spéciaux pour s’approcher de la barre des témoins.
Plusieurs fois, une constable spéciale a dû la soutenir pour éviter qu’elle ne s’effondre.«Ce n’est pas facile pour elle aujourd’hui», a commenté son avocat, Me Christian Raymond.
La femme, qui était accompagnée de ses proches, a plaidé coupable pour une troisième fois à un chef de conduite avec les capacités affaiblies.
«C’est un appel pour une conduite erratique sur l’autoroute 610, a résumé la procureure aux poursuites criminelles et pénales, Me Gaëlle Paradis. Elle a pris la sortie pour la 12e Avenue Nord et est allée se stationner au Tim Hortons.»
«Au moment de leur intervention, la dame semblait très intoxiquée et confirmait avoir frappé un poteau», a-t-elle poursuivi.
La juge Claire Desgens a interrompu la lecture de la trame factuelle pour intervenir auprès de l’accusée. «Madame, vous vous endormez. Votre corps penche par en avant. Êtes-vous en état de plaider coupable devant moi? Vous semblez avoir les capacités affaiblies.»
«Je vous entends, je suis concentrée», a difficilement répondu l’accusée.
Après avoir demandé à la femme si elle reconnaissait les faits rapportés par les avocats, la juge a constaté que «madame cogne des clous, elle ferme les yeux complètement devant moi».
«Je veux être certaine que vous êtes consciente et que vous plaidez coupable de façon éclairée, a ajouté la juge. Vous allez me regarder, me parler, vous allez me confirmer que vous plaidez coupable devant moi de façon libre et volontaire.»
«Je ne suis pas une experte, mais madame est certainement sous l’influence de plusieurs choses, du moins d’une forte dose de quelque chose. Elle a de la difficulté à se tenir la tête.»
Me Raymond a confirmé que sa cliente avait de «sévères problèmes de consommation». «Est-ce qu’elle sera prête à régler ce problème? Elle fait des efforts, mais ce n’est pas concluant. Elle a de la médication, mais la consommation de crack est toujours présente.»
À ce moment, un autre constable s’est amené avec une trousse de Naloxone — un médicament administré aux consommateurs d’opioïdes en cas de surdose. Cette trousse n’a toutefois pas été utilisée en salle d’audience.
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Dans un lycée professionnel, des ateliers « Vis ma vie de détenu » dégénèrent en fight club.
Organisé le 6 novembre au lycée professionnel Michelet à Fontenay-sous-Bois, un « rallye citoyen » a mis les élèves dans la peau de détenus se battant contre les surveillants pénitentiaires.
Plusieurs ont été blessés.
Une enquête a été ouverte par le rectorat.

rahoul a écrit:Dans un lycée professionnel, des ateliers « Vis ma vie de détenu » dégénèrent en fight club.
Organisé le 6 novembre au lycée professionnel Michelet à Fontenay-sous-Bois, un « rallye citoyen » a mis les élèves dans la peau de détenus se battant contre les surveillants pénitentiaires.
Plusieurs ont été blessés.
Une enquête a été ouverte par le rectorat.
https://www.mediapart.fr/journal/france ... fight-club
Dans le cadre d'une étude comportementale, vingt hommes sont sélectionnés pour une expérience. Huit d'entre eux acquièrent la fonction de gardiens de prison et douze celle de prisonniers. Les prisonniers se voient attribuer des numéros qui remplacent leur nom durant l'expérience. Personne ne peut, dans la prison, appeler un prisonnier par son nom, les prisonniers doivent se parler avec leur numéro. Pendant deux semaines, les expérimentateurs étudient les comportements à l'aide de caméras de sécurité.
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Sauvagerie des riches : quand des occidentaux d’extrême droite payaient 100.000 euros pour des «safaris humains».
«Les enfants coûtaient plus cher, ensuite les hommes, de préférence en uniforme, puis les femmes.
Les personnes âgées, elles, pouvaient être tuées gratuitement».

Meurtre sur Gillespie: la plaie de 29 cm aurait pu être mortelle
Une plaie d’une profondeur de 29 centimètres située dans le dos de Marc Vermette aurait pu causer sa mort, selon la pathologiste judiciaire qui a témoigné au quatrième jour du procès pour meurtre au second degré de Steeve Gilbert.
Le couteau présenté depuis le début du procès peut donc «être compatible», selon la médecin.
«Je fais les estimations de profondeur sur une personne décédée qui ne bouge plus. La cage thoracique peut se comprimer, par exemple, et aller plus profondément que la longueur de la lame», explique-t-elle.
Et c’est ce coup de couteau qui a ultimement tué Marc Vermette. «L’impact [du coup] est significatif. Il a touché des vaisseaux de gros calibre. Le sang qui arrive au cœur est dirigé vers les poumons et revient par les artères pulmonaires. On a donc une perte de sang assez significative», décrit-elle.
Selon la pathologiste judiciaire au Laboratoire de sciences judiciaires et de médecine légale (LSJML) de Montréal, Marie-Ève Meehan, quatre plaies causées par un objet coupant et tranchant ont touché Marc Vermette.
Bien que toutes les plaies puissent jouer un rôle minimal dans la mort de M. Vermette, la plus profonde est celle qui a causé le plus de dégâts.
Cette plaie de 29 centimètres — bien que le couteau ne mesure qu’une vingtaine de centimètres — passe entre deux côtes, perfore un poumon et touche des vaisseaux importants, dont «une branche de l’artère pulmonaire».
Quelque 1700 millilitres de sang se sont accumulés dans la cavité thoracique. Un corps normal est composé de 5000 ml de sang, environ.
«Ça n’inclut pas ce qui est sorti sur la scène, ce qui sort durant l’autopsie ni ce qui est sur les vêtements», précise la médecin.
«Les conséquences sont très importantes. La perte de sang peut être assez rapide et importante. [...] Ça remplit la cavité de sang, ce qui signifie que le poumon n’a plus assez d’espace pour prendre de l’expansion pour permettre de respirer», mentionne la Dre Meehan.
«Ce n’est pas une cause de décès nécessairement immédiate, mais ça a des conséquences importantes», dit la Dre Meehan, ajoutant que la trame factuelle selon laquelle Marc Vermette a descendu une vingtaine de marches, a crié, a marché une cinquantaine de mètres avant de s’effondrer serait plausible.
Les trois autres coups de couteau ont touché des tissus mous et un rein, entre autres. Toutefois, la pathologiste ne peut pas déterminer l’ordre des coups reçus par la victime.
Lésions au visage
Par ailleurs, la pathologiste judiciaire a été questionnée par la Couronne et par la défense sur des lacérations et de l’érosion au visage de la victime. La Dre Meehan juge qu’il est possible que ces blessures aient été infligées lorsqu’il s’est effondré au sol. Ça pourrait également être le résultat de coups portés lors d’une bagarre, par exemple.
La défense a soulevé «deux érosions sur la main droite et une à la main gauche», «qui auraient pu être causées par un coup de poing».
Une biologiste judiciaire a confirmé que l’ADN de Marc Vermette avait été retrouvé sur le couteau retrouvé dans la poubelle, sur le cadrage de porte et sur sa veste.
Le manche n’a toutefois pas dévoilé d’ADN, ni de M. Vermette ni de Gilbert, ce qui peut être expliqué par une multitude de raisons.
Une chimiste, elle, a confirmé que des fibres des vêtements de la victime se sont retrouvées sur le couteau retrouvé dans la poubelle.
Les coupures sur les deux vêtements sont également compatibles avec le couteau.

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