En creux, on comprend que les éditeurs étaient en position de force : faire venir ou non les autrices et auteurs, donc leur accorder ou non cette visibilité en les sélectionnant, et sinon, en leur accordant une place
dans leur cirque sous leur barnum.
Et si elles ou ils refusent les conditions de la foire à la signature, tant pis pour elles et eux, d'autres seront moins regardant(e)s, d'où la paupérisation rampante qui est dénoncée.
Ce ne sont pas les quelques exemplaires vendus sur place avec un rapport gain/effort riquiqui qui mettront du beurre dans les épinards.
C'est bien le truc que montre le doigt du "girlcott" alors que les imbéciles préfèrent regarder ce dernier terme en tournant en boucle.
Les autrices et auteurs veulent être justement payés pour ce travail et améliorer leurs conditions de travail dans ce festival à tous les niveaux, dont les VHSS.
Si un mythe devait s'effondrer pour toutes les lectrices et lecteurs, ce serait bien que ce soit celui de l'autrice-ou-de-l'auteur-qui-ne-travaille-pas-pendant-le-festival-parce-qu'après-tout-"dessiner, c'est sa passion"-et-qu'il-ou-elle-y-a-la-chance-de-rencontrer-son-public
![chante [sing]](./images/smilies/sing.gif)
(<= ajouter ici des paillettes et des chants d'oiseaux).