Le Tapir a écrit:icecool a écrit:Dans tous les cas, le FIBD devait se débarrasser de ses dérives, violences et autres divergences politiques. Il était plus que temps.
Il a fallu malheureusement pour cela un électrochoc, et "L'affaire Chloé" fut ainsi LE déclencheur.
La victime témoigne désormais courageusement à visage découvert...
https://france3-regions.franceinfo.fr/n ... 52829.htmlUne étape importante pour amorcer aussi la reconstruction, dans un dialogue (que j'espère constructif et apaisé) déjà en marche... Et pour en finir avec les VHSS !
Il n'y a rien dans ce dossier. C'est pipo toute cette histoire autour du festival : pas de lien entre viol présumé (et non prouvé) et la société qui gère le festival, aucun lien.... Le management toxic c'est une chose, mais bon, ça ressemble juste à la société d'aujourd'hui à tous les niveaux. Il faudrait faire le procès du libéralisme à ce compte. Ça va être compliqué. Ça sent vraiment le buzz à la con cette histoire.
Il fallait attendre que ce soit jugé selon toi ? Alors que ces affaires trainent souvent pendant des années...
Ben oui, après tout, ça aurait fait gagner encore quelques euros... Et il y a avait moyen d'enquiller avec le nouvel appel d'offre, en passant avec l'élan avant que la poussière retombe, et en force si besoin.
C'est ce qu'ils ont essayé de faire, ce n'est pas passé.
A lire l'article, au contraire, on comprend que l'ambiance et le comportement managérial était franchement pourris.
L'absence de protection le lendemain alors qu'elle donne l'alerte tout de suite (elle est forcée de retravailler avec le type), le fait que le type soit probablement employé par un client ou fournisseur de 9èmeArt+ (donc avec un lien redevable), les questions indiscrètes de son patron (toujours les mêmes et bien culpabilisantes comme il faut : comment elle était habillée... En 2025, sérieux ?
![NonNonNon [:bru:3]](./images/smilies/bru.gif)
), le licenciement qui semble à tout le moins abusif vu la concomitance, on ne sait rien des reproches justifiant le licenciement...
Tout ça, ça pue, selon tous les critère des VHSS.
Donc si le patron et la DRH étaient de mèches, oui, c'était bien un système de mangement toxique...

Et si le patron était à la fois Dieu le Père sur Angoulème et le festival, doublé d'une vraie terreur pour ses équipes (voire aussi pour ses clients/fournisseurs), comment voulez-vous que les subalternes et les bénévoles s'expriment ou se révoltent ?
C'est ce que je crois comprendre implicitement de la tribune diffusée par HevB ci-dessus. Des gens investis et passionnés bossaient humblement pour le festival, leur ville, leurs idoles autrices et auteurs, etc... mais sous la coupe de leur management toxique, et sans que le public/consommateur ne puisse se rendre compte de leurs éventuels malaises, vu le succès du festival.