toque a écrit:Je comprends la frustration, mais je trouve que la question financière est une mauvaise question.
Aucun auteur ne gagnera un euro de plus en faisant disparaitre Angoulême.
Sans compter qu'il y a 40 ans, les auteurs étaient 300, ajd ils sont 3000 pour le même gâteau. (Source Rodolphe dans son Old-School)
La faute aux écoles qui sortent des 10-aines de "diplômés" à chaque années et qui voudraient devenir le successeur du Gosc en moins de 2 ans.
Xavier Guilbert a écrit:toque a écrit:Votre (ton ?) regard sur Astérix est extrêmement révélateur.
Mon regard. Je ne parle en aucun cas au nom du Festival ou de l'organisation qui est derrière.
J'y suis périphérique, et s'il me fallait exprimer mon sentiment actuel, c'est surtout de la tristesse. Je me demande à quoi va ressembler l'après, et si cet après sera vraiment mieux.
Je crains en effet que ceux qui reprendront le bidule qu'ils ont cassé ne parviendront pas à la cheville des organisateurs actuels
Vous me connaissez avec mon anti-Angougou-isme, mais je n'ai pas l'impression qu'ils faisaient du s-mauvais travail dans l'organisation, sauf pour des boulettes parfois énormes (les faux fauves, par ex). Si le FIBD est devenu ce qu'il est (le #1 d'Europe), c'est grâce à l"équipe en place et non les envieux et jaloux.
J'ai surtout l'impression que le travail de sape des Iznogoud, c'est qu'il veulent leur rayon de soleil pour mieux péter les boutons de col de leur chemise (et devenir dikkenek à la place du dikkenek).
Mieux vaut tapis Persan volé que tapis volant percé (Uderzo.... et oui, pas Goscinny)