logan1973 a écrit:Wenger il a eu du succès au début, quand il est arrivé et que David Dein le laissait gérer les transferts à sa guise pour construire la meilleure équipe possible. Ca culmine avec les invincibles de la saison 2003-2004, sauf qu'à ce moment là Dein est déjà plus ou moins borduré et n'a plus d'influence au club (processus qui aboutit à son départ plus ou moins volontaire en 2007) et le board décide de gérer les transferts non plus pour l'équipe mais pour gagner de l'argent pour financer la rentabilité du club durant la construction et la mise en œuvre du nouveau stade. Dès l'été 2004 le club laisse partir Keown, Parlour, Kanu et Wiltord sans les remplacer, et ainsi de suite tout les ans, les joueurs majeurs partent et sont remplacés par des jeunes à fort potentiel de marge à la revente, le seul objectif imposé à Wenger est alors de se qualifier annuellement pour la ligue des champions et d'empocher le gros chèque qui va avec. Le gros problème c'est qu"'il a réussi à chaque fois et que du coup le board a pas trouvé utile de faire les efforts nécessaires alors que la concurrence était à la fois de plus en plus nombreuse (retour en forme de Liverpool, nouveaux investisseurs à City, Tottenham , sans compter les profits générés par les contrats télés qui font que chaque club est potentiellement dangereux pour peu qu'il réussisse un bon recrutement sur une année) et de plus en plus talentueuse (le plus souvent en achetant les joueurs d'Arsenal une fois totalement adaptés à la Premier League).
thyuig a écrit:On s'aperçoit surtout que des Thierry Henry, ça pousse pas à tous les coins de rue et que c'était un joueur exceptionnel.
bdmaniak a écrit:Il y a Kyllian Mbappé.
mistercoyote a écrit:Me semble que c'est un peu facile le côté "Arsenal dépense pas de rond c'est pour ça".
Il claque 100 millions au mercato presque tous les ans, Sanchez, Ozil ou encore Xhala c'est plus de 40 millions à chaque fois.
Arsenal ne perd pas que contre les gros et a souvent des passages à vide.
José Mourinho a écrit:Ils peuvent m'appeler comme ils veulent. Tant qu'il n'y aura pas de manager qui leur fait gagner quatre fois la Premier League, je suis le numéro un. Quand quelqu'un gagnera quatre fois la Premier League, je deviendrais le numéro deux. En attendant, Judas est le numéro un.
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