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  1. n°1

    Thorgal Saga
    2. Wendigo

    Le Lombard Parution: 26/01/2024 77 votes

    Naviguant vers leurs terres depuis le pays Qâ, Thorgal, Aaricia et Jolan se retrouvent pris au beau milieu du conflit qui oppose le Peuple de l'Eau et celui de la Forêt. Leurs divinités respectives sont maintenant déchaînées, et rien ne pourra plus entraver le chaos de la guerre. Sauf, peut-être, une flèche taillée dans l'Arbre de Vie, tirée sur le[…]

  2. n°2

    Saint-Elme
    5. Les Thermopyles

    Delcourt Parution: 24/01/2024 77 votes

    Les mensonges de Stan au cimetière entraînent une cascade de conséquences. Gregor se penche sur le rôle joué par Félix Morba le soir du massacre à la ferme. Marqué par les derniers mots de Kémi, le Derviche préssent une catastrophe, tandis qu'à la Vache Brûlée, le fantôme d'Hélène Mertens se confie à Franck. La nuit tombe sur Saint-Elme ; c'est l'heure[…]

  3. n°3

    Le combat d'Henry Fleming

    Dupuis Parution: 09/02/2024 73 votes

    Et vous ? Quel genre de types êtes-vous pour foncer têtes baissées vers votre propre tombeau ? Des surhommes magnifiques ou des abrutis inconscients ? » Printemps 1863. Sur les rives du Rappahanock, État de Virginie, 190 000 soldats américains s'affrontent dans le chaos mortifère d'une guerre civile fratricide. Les uns portent l'uniforme gris, les[…]

  4. n°4

    Wild West (Gloris/Lamontagne)
    4. La boue et le sang

    Dupuis Parution: 05/01/2024 63 votes

    Toujours sur la piste du « tueur-scalpeur », Wild Bill, Calamity Jane et Charlie Utter découvrent que le mystérieux meurtrier, enfant, a probablement été lui-même scalpé par des Indiens qui ont en outre assassiné ses parents... Pendant ce temps, Graham, employeur du trio et chef de l'Union Pacific, accueille les Buffalo Soldiers, soldats noirs qu'il[…]

  5. n°5

    La neige était sale

    Dargaud Parution: 26/01/2024 61 votes

    Frank est le fils de Lotte, tenancière de la maison close que fréquentent les forces d'occupation de cette ville moyenne d'Europe de l'Est jamais nommée, figée dans les pénuries, le froid et la sourde horreur des années de guerre. Il a 17 ans et les filles n'ont plus de secrets pour lui, puisqu'il a les pensionnaires de sa mère à disposition. Sans[…]

    Erik67 Le 19/03/2024 à 07:35:17

    Il y a encore quelques années, les gens étaient assez incrédules quand on parlait de crise écologique et climatique. Cependant, ces dernières années ont prouvé que cette crise est désormais là sous nos yeux.

    Doit-on alors rester totalement impuissant face aux déchaînements de la nature entre les incendies ou les tempêtes catastrophiques qu'entraînent le réchauffement climatique ? Il est temps d'agir pour tenter de conserver une planète vivable car ce n'est pas demain que nous pourrons aller vivre sur une autre planète. Il nous faut absolument préserver celle-ci.

    Pour rappel, c'est une hausse constante de la température moyenne au niveau mondial liée à notre pollution qui est la cause de ces maux au niveau planétaire. Des milliards de tonnes de CO2 sont rejetés dans l’atmosphère chaque année en raison de la production de charbon, de pétrole et de gaz justifiant notre consommation.

    Evidemment, des températures plus élevées peuvent entraîner une hausse de la mortalité dans la population. Par ailleurs, les températures pourraient bien atteindre 3 degrés Celsius de plus d'ici à 2100 et causer des dommages irréversibles à nos écosystèmes.

    Cette BD nous montre à qui peut ressembler le monde d'après ce qui est toujours appréciable de savoir surtout si vous voulez faire des enfants. Oui, il s'agit de voir quel est le monde que nous leur laissons en héritage, outre la maison familiale. Il est toujours bon de s'y préparer.

    Le principe de cette BD est de nous montrer dans une revue dessinée le travail des journalistes qui enquêtent depuis 10 ans sur cette crise majeure de notre époque. Evidemment, cela prend des aspects tout à fait différents qu'il est bon de connaître.

    On va revenir sur les algues vertes en Bretagne ou sur le chlordécone aux Antilles qui a fait l'objet d'albums déjà publiés à savoir « Algues vertes : l'histoire interdite » d'Inès Léraud et Pierre Van Hove et « Tropiques toxiques » de Jessica Oublié.

    Cependant il y aura d'autres titres que je ne connaissais pas et qu'il est intéressant de découvrir sur cette thématique brûlante. Il s'agit surtout de lutter contre le déni propre à certains hommes politiques (tel que Donald Trump par exemple, l'ancien et futur président des Etats-Unis).

    Ma nouvelle préférée est sans doute celle où Steve Jobs revient sur terre en 3 réincarnations différentes pour se rendre compte du mal qu'il a fait à la planète sous couvert de progrès technologiques. Je n'ai pas envie pour ma part de retourner à l'âge de pierre. Tout est sans doute dans un dosage acceptable pour le bien de l'humanité.

    Oui, tout cela m'a donné un peu le vertige ! C'était sans doute l'objectif de cette BD de nous faire prendre conscience que le futur ne sera pas rose bonbon.

    Pulp_Sirius Le 19/03/2024 à 03:36:36

    D'un point de vue graphique, c'est du 5 sur 5, facile. Le différent style de dessin qui s'impose quand les cauchemars apparaissent est superbe.

    Mais côté scénario? C'est l'histoire de Lovecraft qui "vit" ses propres histoires, en quelque sorte. C'est à moitié biographique, à moitié cauchemardesque. Une très bonne idée qui s'amuse à confondre le mythe et la réalité, mais malgré le nombre de pages, tout se déroule un peu trop vite. L'histoire n'a pas le temps de respirer. On ne réussit pas vraiment à explorer la psychologie de Lovecraft.

    Un album qui vaut tout de même le coup d’œil, si ce n'est que pour les dessins d'Enrique Breccia.

    Blue boy Le 18/03/2024 à 22:21:02

    Après son bluffant « Soleil mécanique », Lukasz Wojciechowski nous revient avec un nouvel album illustré de nouveau à l’Autocad. Mais cette fois, c’est une histoire plus familiale qu’il va narrer ici puisqu’il s’est directement inspiré des récits de son grand-père, évoquant les souvenirs qu’il avait gardé de son géniteur, Stanislaw, qui en est ici le protagoniste principal. Bien sûr, l’effet de surprise est moins présent que sur le premier, mais d’un point de vue visuel, cela reste toujours étonnant. Autocad est un logiciel de dessin assisté que l’auteur, architecte de formation, a détourné de sa fonction première pour illustrer son récit. Ce qui reviendrait un peu à utiliser un robot-mixeur pour battre des œufs en neige. Une démarche qui rappelle beaucoup celle de Martin Panchaud avec sa « Couleur des choses », publié chez le même éditeur et récompensé du fauve d’or à Angoulême l’an dernier.

    Alors bien sûr, quand on feuillette, on peut avoir un mouvement de recul. Ces fines lignes droites hyper minimalistes, hyper millimétrées, ont un aspect froid et pas très engageant pour tout puriste de la bande dessinée, mais il ne faudrait surtout pas s’arrêter à ça, car cet album recèle bien d’autres qualités. Pour ceux qui ont lu « Soleil mécanique », l’effet de surprise sera amoindri mais le parti pris reste toujours aussi fascinant par son audace confinant à la poésie, où les dessins froidement architecturaux semblent tisser une passerelle vers un art abstrait empreint d’émotion. On s’habitue très rapidement aux codes de lecture innovants, qui voient les phylactères ne faire qu’un avec les cases.

    Pour contrebalancer cette « sécheresse » graphique, LW réussit à produire un récit extrêmement accessible, profondément humain, à partir d’une histoire familiale tragique. Stanislaw, personnage en apparence insignifiant et docile alors qu’il vient d’être embauché par le bureau d’étude où bosse son oncle, est aussi le narrateur. Après le travail, il traine sa solitude dans les quartiers mal famés de Berlin. On le voit alors en proie à des accès de violence, lui le Polonais expatrié et confronté au racisme en pleine montée du nazisme, évoquée en filigrane dans l’histoire. Au fil des pages, le lecteur va découvrir que ces colères incontrôlables s’expliquent par un traumatisme profond et incurable remontant à l’enfance, et là selon l’expression consacrée, c’est la petite histoire dans la grande Histoire… avec une référence explicite au « Cabinet du docteur Caligari », un film expressionniste allemand de 1920 exerçant une grande fascination sur Stanislaw, où il est question de tyrannie et d’obéissance aveugle des foules à l’autorité… Et puis il y a cette balle de fusil « Dum Dum », qui a donné son nom au titre, et a participé au fameux traumatisme de ce dernier, un mot-leitmotiv dont la sonorité mécanique imprime sa rythmique au récit, renvoyant à cette « ligne droite et nette », guidées « par la main ferme et assurée du technicien » dévoué à l’ordre d’un système. Ce système même qui participera à l’avènement du régime hitlérien, même si dans le contexte évoqué, on n’en voit que les prémices…

    Mais au milieu de ces lignes droites, les blessures de Stanislaw font tâche, dans tous les sens du terme. Au fur et à mesure de ses errances dans Berlin, les coups qu’il a reçus au visage deviennent plus visibles. Ces « tâches », dessinées au pinceau, sans règle, apparaissent comme une menace pour les lignes millimétrées de l’architecte et leur bel ordonnancement. Symbolisant les émotions, en contrepoint de la froideur et l’insensibilité du trait sans défauts, elles vont tenter de s’imposer tout au long de la narration, telle une métaphore des souffrances muettes de Stan qui finiront par se révéler tragiquement au lecteur.

    Pascal Garin Le 18/03/2024 à 21:24:07

    Cet album exceptionnel se lit comme un thriller : happé dès la première page, vous ne le relâchez qu'à la dernière, après avoir vécu l'incroyable saga de George Lucas, peint ici avec beaucoup de tendresse.

    Les génies sont toujours incompris (?), le créateur de Star Wars ne fait pas exception, rejeté par la 20th Century Fox, frileuse à l'idée d'une œuvre d'anticipation, au départ un peu simplette et brouillonne, mais qui, au fil des influences, a su s'étoffer, se canaliser pour atteindre à l'universalité des grands mythes.

    Un coup de chapeau aux deux auteurs, et mention toute particulière au dessinateur Renaud Roche qui a su trouver un équilibre idéal dans un dessin réaliste très efficace où tous les protagonistes sont magistralement croqués.

    addrr Le 18/03/2024 à 20:15:54

    J’hésiterais entre 3 et 4/5, mais finalement la Jodo’s Touch marche toujours bien sur moi.
    C’est une série où notre Franco-Chilien préféré use et abuse de ses marottes favorites, et finit par nous faire du grand WTF dans le dernier album.
    La période où se déroule la série est intéressante et j’ai bien aimé la façon dont il détourne des événements historiques connus pour que ça colle avec son scénario et son microcosme crée.
    Côté dessins, sans surprise, Jérémy fait un travail remarquable, c’est très beau.
    Au final c’est une série estampillée Jodo, avec ses force et ses faiblesses, toujours les mêmes. Et le monsieur sait toujours se faire accompagner d’un sacré dessinateur.
    Pour les fans, c’est un grand oui. Pour les autres, prudence.

    kergan666 Le 18/03/2024 à 18:05:48

    j'ai adoré cet album de SF ou d'anticipation c'est selon
    l'histoire m'a rappelée un livre dont j'ai oublié le nom de Philip K. Dick
    le synopsis était assez semblable avec une nouvelle planète ouverte aux colonisateurs sans retours possibles avec surprises à la clef
    il y a également la série l'âge de cristal ou le film Soleil vert qui peuvent également avoir quelques points communs même s'ils sont plus tenus
    les dessins sont dans l’ensemble bons quoique assez éloignés du style franco-belge que j'apprécie
    seules les couleurs ne m'ont pas vraiment plus mas c'est vraiment un détail
    dans l’ensemble cet album est vraiment à recommander et à lire sans hésitations ni modérations

    franp Le 18/03/2024 à 10:51:45
    Les récits - Tome 4 - Les bistrots

    Résumé des quatres tomes de la série, heureusement arrêtée : une poignée de récits médiocres en bandes dessinées d'une demi-douzaine de pages chacune, introduites chacune par une page de baratin de bistro vaguement pseudo-philosophique. On vous aura prévenu.

    franp Le 18/03/2024 à 10:31:57
    Kebek - Tome 2 - Adamante

    C'est vraiment dommage d'avoir dénaturé à ce point "La nuit des Temps" de Barjavel, un des meilleurs romans de science-fiction. Là où Barjavel incluait subtilement mais efficacement la dimension écolo dans la trame même du récit science-fictif, Gauckler nous assène la chose à coups de massue jusqu'au vomissement. Malheureusement, le romantisme poignant du roman de Barjavel est la grande victime de cette trahison. En matière d'adaptation, il faut se poser la question : l'adaptation apporte-t-elle une plus-value par rapport à la chose adaptée ? Ici la réponse est non, et de loin.

    Erik67 Le 18/03/2024 à 07:39:12

    Après un automne en baie de Somme, on va avoir droit à un hiver à l'opéra Garnier à Paris. On poursuit en effet les aventures de l'inspecteur Amaury Broyan qui a toujours du mal à refaire surface après la mort tragique de sa fille.

    Il s'agit cette fois-ci de résoudre de mystérieux meurtres mis magistralement en scène par le fantôme de l'opéra. Ce récit sera également emprunt de mysticisme à travers l'hypnose mais également une approche assez ésotérique qui permet de communiquer avec les morts. Encore faut-il y croire. La fin sera d'ailleurs assez surprenante à de multiples égards.

    J'ai bien aimé ce titre qui est scénarisé par le prolifique Philippe Pelaez. Un mot sur le graphisme proposé par Alexis Chabert pour dire qu'il magnifie très bien les décors parisiens de cette belle époque dans une mouvance qui fait très impressionniste. On s'y croirait vraiment en cet fin du XIXème siècle alors que la IIIème République doit combattre de multiples complots notamment nationalistes.

    En conclusion, un titre à découvrir surtout si on avait bien aimé le précédent opus. Ce fut une lecture assez plaisante sur un scénario plutôt simple sur une double intrigue.

    Pulp_Sirius Le 18/03/2024 à 01:30:17
    Le voleur de Proxima - Tome 1 - L'équilibre sacré

    Euh... nul! Le scénario n'a aucun intérêt -- un homme doit marier quatre filles de roi afin de prévenir une guerre -- c'est de l'humour puéril, les dialogues sont pauvres, le dessin n'est pas fameux, la colorisation est horrible... Je n'ai pas lu le deuxième tome, mais d'après moi, l'histoire ne doit même pas se conclure et la série a probablement été annulée...