Karzak a écrit:Mais on consomme combien de fois + que le minimum vital d'un humain ?
Karzak a écrit:Ah ouai non mais donc c'est pas du troll du tout en fait.
Et sinon plutôt que de tuer un tiers de la planète parce qu'on serait "trop nombreux" c'est pas envisageable de se dire qu'on consomme juste trop de ressources par personne ?
LeJoker a écrit:Karzak a écrit:Mais on consomme combien de fois + que le minimum vital d'un humain ?
Tu raisonnes seulement à partir de données abstraites. Avant les Kcal, y a l'eau. Et c'est là où ça va craquer. On fait quoi des humains en surnombre qui n'auront pas assez d'eau ? Pakistan Inde, Afrique sub saharienne ?
C'est terrible à dire, mais va bien falloir que des millions meurent.
Seule solution. Scandaleuse, mais la seule.
Coldo3895 a écrit:Mais une politique dénataliste, c'est faisable.
Coldo3895 a écrit:
Alors évidemment, je reste libéral, donc pas question d'imposer quoi que ce soit. Mais une politique dénataliste, c'est faisable.
thyuig a écrit:Tu donnes l'impression d'avoir longtemps réfléchi au problème, pour autant j'ai le sentiment que tu élimines volontairement beaucoup de termes dans l'équation.
Non, on ne bouffe pas TOUS pareil. Pas encore, et le refuser le plus longtemps possible coïncidera avec une préservation d'autant plus longue de la diversité du vivant.
La question de la manipulation est intéressante tant elle accouche maintenant sur une impasse : tellement sensibles, il faut insensibiliser le milieu dans lequel ces aliments poussent. On leur supprime toute saveur, tout intérêt nutritionnel et encore, on aura tout de même besoin d'ajouter des mains humaines ou mécaniques pour s'occuper de les fertiliser.
Savons-nous que tout ce pataquès existe déjà dans la nature ? Pour quelle raison devrait-on accepter qu'une Société (entreprise) se substitue à la nature pour nous provisionner en bouffe ? Ces entreprises tuent tout et on devrait dire merci, filer du pognon en R&D pour polliniser des putains de tomates ? Mais c'est un truc de cinglé, non ?
La solution, comme pour l'espèce humaine, c'est la diversité. Le croisement, le mélange, la génétique qui devient encore plus riche. En isolant les bonnes plantes des mauvaises, l'industrie alimentaire va contre la nature et scie chaque jour un peu plus le piédestal sur lequel elle s'est installée. Tout pousse en abondance sur notre planète, l'argument de la pénurie et des disette est un faux argument, basé sur une époque où les denrées ne circulaient pas pour des raisons logistiques.
Franchement, ça me fait flipper que certains pensent que la solution est de supprimer le vivant.
nexus4 a écrit:Ben après c'est des mathématiques. Si le maximum de ressources par personne pour que la planète soit viable n'est compatible avec le minimum vital d'un humain, vu que le planète va pas grandir, va falloir diminuer le nombre d'humains. Et il est très possible que ca se fasse tout seul. Brutalement.
En gros, si t'as besoin de 700Kcal par jour et par personne pour vivre, et que la planète peut en fournir 300, c'est foutu. La variable d'ajustement ca va être l'humain.
Karzak a écrit:Coldo3895 a écrit:
Alors évidemment, je reste libéral, donc pas question d'imposer quoi que ce soit. Mais une politique dénataliste, c'est faisable.
Un changement de mode de consommation et la fin du culte de la croissance aussi.
Karzak a écrit:Oui.
Le Complot a écrit:Oui.
Coldo3895 a écrit:Le Complot a écrit:Oui.
La preuve, l'enthousiasme avec lequel les français ont systématiquement accueilli toutes les mesures visant à limiter l'usage de leur chère voiture.
Coldo3895 a écrit:Peut-on imaginer suivre une telle solution autrement que sous un régime totalitaire ?
toque a écrit:Coldo3895 a écrit:Peut-on imaginer suivre une telle solution autrement que sous un régime totalitaire ?
Interdire les vols intérieurs quand une alternative en train existe c'est du totalitarisme ?
Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 3 invités