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L es jours se suivent et se ressemblent à Cotoprep, sauf que cette fois Paul, le comptable, a été assassiné. Pichard et sa patronne mènent l’enquête. Le tandem découvre un univers, ses codes, ses préoccupations et son jargon. Les suspects pullulent dans ce microcosme teinté de rivalités inter-services et de jalousies. Par exemple, ce collègue qui convoite le bureau du défunt, tout près de la machine à café ou les ressources humaines qui s’y connaissent en abolition de postes… à moins que ce ne soit un suicide.

Le récit de James prend la forme d’une centaine de saynètes humoristiques. Son propos sur les travers du monde du travail apparaît convenu, d’autant plus qu’il a préalablement scénarisé Dans mon open space, une série où il a exploré sensiblement les mêmes thématiques. La lecture est néanmoins agréable ; l’humour, souvent minimaliste, passe du jeu de mots à la grivoiserie douce, sans oublier quelques éléments de critique sociale, entre autres la déshumanisation, l’ennui, la misogynie et l’anglicisation.

Le dessin caricatural de David De Thuin se révèle en phase avec le projet. Chaque planche est composée de quatre tuiles constituant une courte histoire rattachée à celles qui la précèdent et à celles qui lui succèdent. Les personnages, un peu enfantins, se montrent expressifs et sympathiques ; les décors sont généralement remplacés par des aplats de couleurs très vives, une stratégie qui incite le lecteur à concentrer son attention sur les protagonistes et les dialogues.

Un opuscule sans prétention qui se lit bien, mais vite, malgré ses cent pages.

Par J. Milette
Moyenne des chroniqueurs
5.0

Informations sur l'album

Meurtre à la compta

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