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Erik le Rouge (Di Giorgio/Sieurac) 1. Le sang des vikings

16/05/2013 11136 visiteurs 3.7/10 (3 notes)

À la suite d'un crime, Thorvald Ásvaldsson est banni de Norvège. Il embarque avec les siens et pointe vers l'Ouest dans l'espoir de s'installer sur une terre alors quasiment vierge, l'Islande. Son fils, Erik le Rouge, naît lors de la traversée. Arrivé à destination, le clan s'installe dans un fjord inhabité. Au fil des ans, le groupe survit, prospère même, malgré les difficiles conditions de vie.

Jean-François Di Giorgio (L'or des fous) suit la trajectoire du clan Ásvaldsson dans Erik le Rouge. La destinée de cette famille est bien connue, particulièrement celle d'Erik qui colonisa le Groenland et, plus encore, celle de son descendant direct, Leif Ericson, pionnier qui navigua jusqu'à Terre Neuve, faisant de lui le premier Européen à toucher l'Amérique du Nord, cinq cents ans avant Christophe Colomb. Mais, chaque chose en son temps, pour l'instant, Le trésor du Vinland, premier volume d'une trilogie, se concentre sur le patriarche de la famille, Thorvald. Malheureusement le scénario ne fait guère honneur à son sujet. En effet, malgré une réelle volonté historique, la narration est remplie d'imprécisions et de clichés sur le mode de vie des Vikings ainsi que de grossières erreurs géographiques (par exemple, au Xe siècle, il ne restait plus aucune forêt exploitable en Islande, tout le bois d’œuvre devait même être importé d'Europe). Ces approximations gâchent quelque peu la lecture, la situation étant d'autant plus regrettable que le scénariste impose un rythme indéniable à ces aventures nordiques grâce à un sens du découpage des plus aboutis.

Plus concluant, Laurent Sieurac (Arelate, L'assassin royal) illustre cette épopée en apportant beaucoup d'attention aux détails. Les costumes, les habitations, les embarcations sont rendus d'une très belle manière. Sans user d'un réalisme jusqu'au-boutiste comme le faisait un Jacques Martin, le dessinateur redonne vie à cette tranche du passé avec brio. De plus, dans un autre registre de son art, il offre différentes scènes de batailles furieuses – particulièrement lors de l'expédition en terre saxonne – des plus convaincantes.

Souffrant d'un manque de rigueur historique et d'une intrigue quasi-inexistante, Erik le Rouge débute sur des bases chancelantes. Espérons que la suite de la saga sera plus enlevée.

Par A. Perroud
Moyenne des chroniqueurs
3.7

Informations sur l'album

Erik le Rouge (Di Giorgio/Sieurac)
1. Le sang des vikings

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L'avis des visiteurs

    BIBI37 Le 21/09/2013 à 19:31:17

    une histoire sans interêt.
    Ce tome ne nous apprend rien de la vie du célèbre viking.
    Aucun scénario et des dessins à peine médiocres.
    A oublier.
    3/10.