Islander
1. L'éxil
Futur proche Le continent européen est victime de catastrophes multiples, des réfugiés de tous les pays s'amassent au port du Havre, lieu de transit vers un hypothétique salut. L'Islande est encore épargnée, mais pour combien de temps ? Liam, qui a déjà tout perdu, va tenter sa chance en subtilisant le pass d'une migrante, sans savoir que l'Islande[…]
Excellent premier volume qui dépeint un Paris assez sombre et instable. Les ambiances sont réussies, la narration rythme efficacement le récit. C'est prenant, et ça laisse entrevoir le potentiel de cette série pour les prochains albums.
Je m'attendais à pire. C'est une nonne catholique qui s'allie à un musulman (?) pour combattre des démons par les armes ou les exorcismes. Le dessin est plutôt bon, typé manga. L'histoire est bien sûr humoristique et ne se prend pas au sérieux, et réussit quand même à faire sourire à quelques reprises. Il y a de l'action et des entrailles de démon. C'est une lecture très légère, ça se laisse lire, sans être extraordinaire. C'est monté de façon à laisser place à une suite, si jamais le premier tome se vendait bien, j'imagine. Pas mal.
La série Gil Jourdan s'achève avec ce seizième tome, composé de 4 histoires, qui est le moins bon de la série. Aucune de ces histoires n'est vraiment drôle, ni vraiment passionnante...
Heureusement cela ne représente pas la série, dans laquelle on trouve de belles pépites. On retiendra surtout l'humour et la finesse des dialogues, et il faut bien l'avouer ces heros qui finissent par être bien attachants. Une très bonne série.
Un dessin qui colle bien avec l'ambiance glauque et sinistre qui anime une grande partie de l'histoire. Les tranchées de la guerre 14-18, les gueules cassées, la fourberie et la duplicité du milieu de l'art, la persécution de toutes les personnes qui sortent du cadre ou de l'ordinaire, sont autant de thèmes abordés et décrit dans cet ouvrage.
Les graphismes alternent le bon et le moins bon. Par moment très fins et très réussies puis à d'autres brouillon et confus.
La narration est plutôt lente, avec un côté fantasmagorique qui divisera les lecteurs. Malgré des passages plutôt intenses, l'intrigue n'est pas des plus prenantes.
Bref, de mon point de vue, un lecture tout à fait dispensable.
Les trois premiers tomes de la seconde saison ont le mérite de relancer l'intrigue de la série, en identifiant de manière claire toutes les forces en présence.
Comme l'illustre bien les couvertures, c'est l'ombre qui va devenir le personnage central, même si on suit toujours Kevin Nivek et Mélinda.
L'histoire suit son cours avec des scènes d'action très réussies et des liens de plus en plus évident et appuyé sur les autres séries du même univers.
Encore un très bon collectif, où il est bien agréable de retrouver certains héros d’enfance un peu oubliés, voir d’en (re)découvrir. Le thème est une nouvelle fois bien respecté par les auteurs, joli travail d’ensemble.
Ce deuxième volume est indissociable du troisième puisqu’ils forment ensemble l’évènement "État de terreur" (Fear State, en VO). Au vu des trois seuls épisodes de la série régulière Batman présents au sommaire, on imagine à raison que l’intrigue ne progressera que très peu. Ainsi, plusieurs séries relatives à la Bat-family – au premier rang desquelles celle consacrée à Nightwing – viennent grossir l’album et raconter les conséquences de la dispersion de la toxine de l’Épouvantail sur nos super-héros et la ville de Gotham (Batman 2016, #112-114, Nightwing 2016, #84, Batman: Fear State Alpha #1 et Batman: Secret Files - Miracle Molly #1 et Peacekeeper-01 #1).
Ce deuxième tome développe essentiellement les à-côtés de l’intrigue et le passé de ses nouveaux protagonistes tels Miracle Molly et Sean Mahoney avant qu’il ne devienne Peacekeeper-01 (des épisodes d’ailleurs joliment illustrés respectivement par Dani et Joshua Hixson).
Ce n’est ni totalement inutile ni rigoureusement indispensable, tout juste s’agit-il d’un Batman très classique. Après tout, n’est-ce pas ce qui est demandé à son auteur ? Je suis peut-être trop vieux désormais pour encore m’émerveiller en lisant du Batman mais j’attendais mieux de ce run. Une fois encore, James Tynion IV monte en épingle les justifications simplistes de Jonathan Crane, alors adolescent, quand son propre scénario s’achève sur une confrontation téléphonée entre le Chevalier noir et un nouveau super-soldat habilement baptisé Peacekeeper-X (à qui l’on a en plus donné un costume noir pour montrer qu’il était plus badass que le précédent).
Belle hommage, dessin de l'immense Manu LARCENET qui avec son style respecte parfaitement l'univers de PETILLON. Le scénario est rigolo et le personnage toujours aussi absurde. La dernière case est une idée magnifique. Petit coup de coeur pour tous les personnages secondaires accrochés à leur téléphone portable c'est gratuit mais c'est drole.
L'intrigue avance et nous captive. Le dessin est superbe et l'histoire accrocheuse. Bravo Mathieu REYNES quel génie !
Superbe album avec ce fond de scène géopolitique qui confronte écologie et dictature sanitaire. Les personnages sont très bien travaillés et l'intrigue avance entre humour et noirceur. J'ai retrouvé plaisir à lire du manga comme quand j'ai découvert Dragon Ball.